vendredi 7 octobre 2016

De la chute

La chute, il fallait la vivre
En conscience
Et ça c'est pas rien !

Quelle trouille !
Les yeux grands ouverts
Là c'est sûr, je meure.

Mais, pas d'écrasement
Pas de sang, pas de cris
Doucement se poser
Au fond de la ravine.

Un autre monde...

4 commentaires:

  1. Ah non ! On ne revient pas à l'ancien dans ces déplacements en conscience, le sens de la marche est là, si vivant.

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  2. Revenir de loin, suppose que l'on aurait pu ne pas revenir...

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  3. Ah ? J'hésite sur ce pas dansé... Je pourrais dire que "revenir" on en décide ou encore que l'on revient jamais dans la même figure...

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