La
chute, il fallait la vivre
En
conscience
Et
ça c'est pas rien !
Quelle
trouille !
Les
yeux grands ouverts
Là
c'est sûr, je meure.
Mais,
pas d'écrasement
Pas
de sang, pas de cris
Doucement
se poser
Au
fond de la ravine.
Un
autre monde...
Revenir de loin ?
RépondreSupprimerAh non ! On ne revient pas à l'ancien dans ces déplacements en conscience, le sens de la marche est là, si vivant.
RépondreSupprimerRevenir de loin, suppose que l'on aurait pu ne pas revenir...
RépondreSupprimerAh ? J'hésite sur ce pas dansé... Je pourrais dire que "revenir" on en décide ou encore que l'on revient jamais dans la même figure...
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