Conscience
de soi, lumière
Lumière
dans la nuit
Dans
toutes les directions
Démasque l'ego qui ramène tout à lui.
Conscience
de soi, lumière
Lumière
dans la nuit
Dans
toutes les directions
Démasque l'ego qui ramène tout à lui.
Pas
de peur sans les peureux
Faibles, indécis
Qui
produisent cette émotion
Avec
leurs glandes malades
Habitudes, attachements
Qui
à force deviennent des réalités
Invisibles
puisque forces psychiques
Mais
oh combien actives.
La peur, l'affronter
Non
pas la combattre, mais se mettre juste en face
La
regarder, l'entendre, la sentir
Dans
une attention sans faille, mais sans tension
Il
n'y a qu'une façon de franchir cette frontière.
Merci Anna et Mala
Anna
L'ouverture
est déjà un état de conscience modifiée.
Est-ce ces états
particuliers qui mettent hors de danger ?
Miche
C'est
vrai, l'ouverture est un état de conscience modifié.
Je ne peux
rien affirmer concernant la question des dangers, je ne parlerai que
de ce que je vis. C'est comme une bulle, sur laquelle "les
mauvaises intentions" viennent "frapper", sans pouvoir
pénétrer.
Mala
Pas
toujours, pas toujours Miche !
Miche
:))
c'est alors que fermeture, il y a, chère Mala
Toutes les facultés
du vivant, tout en même temps... Conscience éveillée.
La mousse
et le brame du cerf
L’écureuil et ses provisions
La
transhumance des troupeaux
Brumes odorifères, désert blanc
La
course, l'arrêt, l'immobilité
Mordre et être dévoré
Le
jour, la nuit
Hibernation et printemps
Tendresse et vouloir
La
source, la rivière, l'océan
La vague et la goutte d'eau
Le
feu des entrailles, le froid sidéral...
Plus rien à perdre,
plus rien à gagner
Tout se partage à travers chaque
point
Intersection des lignes matricielles.
Anonyme : peut-être est-ce dans la perversion culturelle de nos instincts que s'origine la conscience...
Miche : Alors que l'évolution porte à une complexité toujours plus grande, il semble bien que... oui, de cette tension la conscience individuelle émerge, la connaissance, le bien, le mal...
Merci Sérénita : Quand on ressent cela une fois, on n'a de cesse de revivre un tel moment.
Des Mots : c'est le piège de vouloir "le" revivre, parce qu'alors on s'en coupe.
L’enfant,
les yeux au plafond
Souriait, babillait, il riait aux éclats
Absorbé dans une vision
Connecté à un jeu d’ombres et de
lumières
Une présence peut être…
Lorsque je
l’ai pris dans mes bras
Il a lâché la tétine
M’a
regardée…
Son regard n’accrochait rien
Transparence de
l’enveloppe
Tout son petit être émerveillé
Resplendissait.