Hypocrite ignominie

 

Pourquoi ne prêter qu'aux riches ?

Parce que les pauvres ne pourront pas rembourser

Mais les riches ne remboursent jamais 

Et la dette ne concerne que les pauvres !

 

 

Ici 

 

 

Se méfier plus que tout des généralités

 

Il y a des choses dont il est préférable de ne pas faire des généralités

Ainsi celui-là, cadre de son état

Dont le problème est de ne surtout pas vieillir

Dira que le travail conserve.

 

Pauvre bougre !

Va demander ça à celui qui trime au fond de la mine

Et encore à celui qui en cherche sans en trouver du boulot.

 

 

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De la propagande

 

Les discours veulent toujours convaincre

Et ils disent : nous nous aimons

Nous appartenons.

La vérité ?

Volonté si puissante

D'assimiler.

 

Merci Danken :
Travail de la raison, la raison veut toujours convaincre de sa supériorité, elle en est convaincue.

Miche ;
Oui "con-vaincue", il s'agit bien de vaincre dans le but de l'assimilation.

Danken :
La raison a cette faculté de tisser des cages, en bouffant le sens.

Miche :
Tout à fait ! définitions des représentations, ces images Oh combien éphémères, et l'on aura dit que tout est éphémère ! :))))
  

Refuser l'intégration

 

Subir !

Hé bien, non !

Le consommateur conscient de son pouvoir

Ne subit pas

Mais pour cela une seule façon

La non-consommation

Le refus de la dette

Ne pas appartenir

Ne pas participer !

J'en ai conscience

C'est une attitude que sera jugée extrémiste

Par tous les pouvoirs extrémistes.

 

Déjà publié ici 

 

 

 

"Germes tueurs, le fléau de l'élevage intensif"

 

Ne plus consommer de la viande cela peut être une question de sensibilité aux conditions qui sont faites aux d'animaux d'élevage. A ce stade, force est de constater que nous n'avons pas tous la même sensibilité. Restent les conséquences des élevages intensifs... pour la santé des consommateurs. 

Celles des animaux ? Grand dieu, élever pour manger est-il se soucieux de la santé de l'autre ? 

A force de gaver les animaux d'antibiotiques, l'élevage industriel donne naissance à de redoutables bactéries que nous retrouvons dans nos assiettes et qui résistent à ces médicaments.

 

 

 

C'est tellement incroyable

 

Les versions officielles sont celles

Que l'on ne saurait remettre en cause

Circulez ! Y'a rien à voir

Des gouvernements comme des parents tout puissants

Le peuple, des enfants qui doivent gober la leçon

S'en remettre, acquiescer, ou pan-pan cul-cul.

A tel point que ceux qui osent dénoncer les mensonges d'état

Sont montrés du doigts, dénigrés, suspectés

Ils ont pactisé avec le diable !

 

 

Déjà publié ici

Une fois l'an, la noël

Tout va bien, Noël approche avec ses bottes tricotées en laine blanche et rouge, tiens un peu de vert pour rappeler le sapin. Il trône scintillant de lumières, celui-là ne se souvient même plus des profondes forêts, ni déraciné, ni coupé, il est en matière synthétique.

Dans la crèche l'auge attend le petit jésus, autour bien sagement la sainte vierge, joseph le cocu de dieu et quelques égarés : un âne, un bœuf et des moutons.

Dans le ciel une comète, bien qu'elle ait disparu derrière le soleil elle a résisté à cette chaleur intense, plus lumineuse que jamais dans le ciel d'hiver, ben non ici c'est l'été ! Ne vient-elle pas annoncer la bonne nouvelle, Jésus est mort, ah non il est né le divin enfant !

Jouer musiciens et musiciennes les doux chants de La noël dans les hauts parleurs du centre commercial, les primes ont remplis les escarcelles.

Telle la bise, la tempête fait rage, elle couve, couve le vent nouveau.

 

Pourquoi entraîner les enfants à rêver avec des mensonges ?

A s'émerveiller devant des lumières artificielles ?

Sommes-nous si pauvres en esprit que nous n'ayons rien d'autre à leur proposer que de sauter dans les bottes du père Noël ?

Ignorons-nous encore, que l'invention de ce bonhomme est tout simplement une géniale idée du système qui fait de nos vies un enfer ? Comment vendre et vendre toujours plus. Comment utiliser l'imaginaire, les processus mentaux pour conditionner au désir de consommer, accepter le non-sens d'une humanité polluante et destructive.

Et ce rite chrétien ? Fêter la naissance de ce Jésus en toute cette symbolique, qui une fois avant l'heure de la société de consommation, a généré un livre d'images toutes faites pour conditionner les esprits à l'obéissance aux grands, aux puissants de ce monde ?

Et tous ces enfants qui meurent de faim, que dire ?

 

Le rêve ? L'art de rêver ?

Mais tout cela n'est pas du rêve, ce n'est que conditionnement

Rêver est une fonction créatrice, vraiment

Il n'y a pas de création dans la répétition

Il n'y a pas de création dans le mensonge, la peur, la soumission

Les rouages du cerveau de l'homme bloqués par la déconnexion du vivant, ce réel inconnu auquel nous ne cessons de fermer la porte.

 

Pourtant je ne pense pas me tromper si j'ose dire, murmurer à l'unisson de ce qui se communique... ça se débloque !

Comment avons-nous pu faire ça ?

 

Nous avons accepté que les uns possèdent tout
Et les autres ne possèdent rien.

Comment avons-nous pu faire ça ?

Galantara

De bons papas, et de bonnes mamans

 

Ceux qui crient au complot, c'est intéressant puisque complot il y a

Mais, rares sont ceux qui vont jusqu'au bout du mouvement

Qui permet de libérer ce qui doit l'être. 

Parce que... dénoncer les complotistes, c'est avant tout et surtout Voir

Que ça nous a bien arrangé de faire semblant de les croire ces maîtres du monde

Qu'on les a appelés de tous nos vœux, et qu'on les appelle encore ! 

On voudrait qu'ils soient meilleurs, plus justes, plus sécurisants

Enfin qu'ils soient parfaits, de bons papas, de bonnes mamans ! 

Et vous ? 

Ben oui, rester des enfants

Soyez de bons enfants obéissants !

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La Réunion lontan

Les Maîtres-chiens aussi, vont-ils lâcher les chiens ?

Ceux qui rêvent de foutre des baffes à des femmes
Des crocs en jambe, les jeter au sol
Ceux qui rêvent de pouvoir matraquer, gazer, éborgner
En toute impunité et même être récompensés
Pour ces actes de violence gratuite
Ceux-là peuvent s'engager dans la police française.

- Ils faisaient ça, déjà, avant dans les cités !

 

Oui, mais cela n'avait pas droit de citer
Et comme une majorité n'aime pas l'étranger
L'immigré, le coloré, le musulman, etc.
Ces "délinquants" que l'on s'apprête à chasser comme du gibier
A Mayotte
On ne disait rien ou presque rien.

Maintenant ces messieurs, des femmes dans leur rang
Ces messieurs tapent aussi sur le « bon français »

Monsieur tout le monde.

Les masques sont tombés. 

Bordeau - vidéo

De la prison

Ce que j'ai pris, ici

Je le dépose, là-bas

Pourquoi ?

Tout a un sens, tu sais...

Le monde dit normal

Ce qui rentre dans les cases

Normes

Ne cesse de produire

Par la dictée

De l'anormalités

La normalité

Là où sont des singularités.

Le premier effet est de les regrouper

Dans des catégories, des classes

Ainsi les traiter, faire exister

Une réalité par le conditionnement.

La prison, tout simplement

Et dedans la prison ?

Un cœur qui bat ?

Une attente, un espoir ?

Une désespérance ?

Une fin de non-recevoir ?

Une exclusion ?

La mort... dans l'âme. 

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Hervé Bonsard

"C'est juste pour comprendre !"

 

Il y a tellement de choses déguisées

Ainsi le complot se vit de l'intérieur

Volonté de maîtrise et l'on évoque

Le devoir de responsabilité

Et voici le sentiment de culpabilité.

Déguisées, oui, cela participe du mensonge

Et le mensonge semble bien être le fondement

Ce sur quoi la psyché s'est construite

En disant un JE, par exemple

Forme de revendication de la maîtrise absolue.

Et pourtant...

On pourrait aussi parler d'erreur

Mauvaise interprétation

Défaillance de l'attention

Étourderie et manque d'indulgence.

Alors nécessité de compensation

Inventer le système des indulgences

Celles que l'on achète

Alors la monnaie, les banques, les financiers

Les faillites, la dette. 

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Mais alors qui complote ?

 

Les manipulations mentales sont d'autant plus aisées que les personnes restent dans l'ignorance de leurs modes de fonctionnement, et de leurs interactions physiques, psychiques, énergétiques.

Il fut un temps où les peuples, et donc celui-là, paysan le plus souvent, subissait un ordre social qui lui échappait totalement, il ne savait ni lire, ni écrire, non accès aux savoirs, et la révolution française s'est réalisée grâce à tous ces bras, pour le bénéfice d'une bourgeoisie " éclairée", aux idéaux menteurs. Certains y croyaient peut-être à la fraternité, l'égalité, la liberté, mais le but était de libérer les lois du marché, puisque le marché c'est ce qu'ils faisaient. 

Vous comprenez ? 

Le peuple, la plèbe, ignorante, inculte, ceux qui n'avaient pas su s'élever, c'est donc qu'ils étaient destinés à obéir, à produire avec leur sueur, à être dirigés, maîtrisés, encadrés, etc.

 

Donc, la révolution française n'est autre qu'une vaste manipulation mentale du plus grand nombre par le plus petit. Et bien qu'aujourd'hui nous sachions tous lire et écrire, enfin presque tous, nous voici encore manipulés par notre gouvernement de gauche (illusion du choix du vote).

Manipulés par nos besoins (pratiquement tous fabriqués par le système), par nos plaisirs émotionnels, intellectuels et charnels. Le plaisir, la carotte, parce qu'un système absolument despotique (dans le but de supprimer toute forme de contre-pouvoir) récompense celui qui se conduit bien, punit celui qui se conduit mal en rapport à ses règles qui ne sont pas nécessairement divulguées. Certaines le sont, d'autres ne le sont pas et sont d'autant efficaces au niveau de leur pouvoir de conditionnement. 

Une fois les "mentals" bien dressés, bien soumis, il n'y a même plus besoin de récompense, regardez donc l'évolution entre l'élevage traditionnel et l’élevage intensif, regardez bien, c'est cela leur but. 

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L'usine des animaux 

Pour récompense un petit pouvoir....

Ça fonctionne comme ça, tu sais, distribution de petits pouvoirs. La queue depuis 4 ou 5 heures du mat devant la permanence du maire, ce n'est pas calomnie, c'est réalité. Dans l’antichambre du roi, on se presse bien avant son lever.

 

Distribution = division

Division d'un gâteau jusqu'à en faire des miettes, sur la voie des nanotechniques, dans les assiettes, pucés les gars !

On s'éloigne toujours plus, de la multiplication des petits pains de Jésus. Hé oui, celui-ci faisait tout l'inverse, avec quelques pains il nourrissait une foule. On aura parlé de miracles, mais moi qui ai vu le pouvoir de la lumière, dans les mots, dans le souffle, je sais combien cela est naturel !!!!

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Voyez comme tout converge à nous signifier notre insignifiance !

 

Voyez comme tout converge à nous signifier notre insignifiance !

De petits groupes imposent ainsi leurs lois, leurs pouvoirs sur le monde. 

Comme nous sommes trop nombreux pour qu'ils nous contrôlent directement individuellement, ils ont appris depuis bien longtemps à agir sur nos cœurs et nos esprits, cela s'appelle l'éducation.

C'est parce que nous sommes insignifiants, si petits, tellement imparfaits, enfin c'est ce que nous avons accepté, peut-être, accepté de croire en opposition à l'Etre en soi, c'est donc pour cela que l'on nous gouverne. 

 

Si je me reconnais, si je vois combien chaque vie est unique, je refuse la manipulation, je refuse d'être utilisée par ce système mensonger, voleur, violeur, criminel. Je n'accepte plus que cette planète vivante, unique, soit détruite.

Je n'appartiens plus à ce système, je vois que jamais je n'y ai appartenu. 

Merci Anonyme 

Anonyme : "Je suis" sans peur et sans reproche!

Miche : Oui. Là où la question "qui suis-je ?" se trouve écrasée. 

L'affaire du père Noël, mensonge et pouvoir

Comme l'enfant qui découvre l'affaire du père Noël...

Ils ont menti et par un curieux principe on avait pris pour vérité un mensonge.

Enfin... Pas vraiment, parce que les questions prenaient formes, des questions de bon sens : comment c'est possible cette chose-là ? Réfléchir... pense, pense, pense.

Les questions on ne leur posait pas, c'est donc qu'on savait qu'ils y répondraient à côté, qu'y répondre serait pour eux une remise en cause.

Mais non ! Pas une remise en cause, juste le dévoilement de leur mensonge, pris en flag ! A moins que... se seraient-ils mis à croire au père Noël ? Ohhhh peut-être ! le bon-dieu  c'est leur père Noël.

Étrange tout ça, non ? Apparition, disparition... vérité, mensonge... et si c'était ça la véritable nature de la réalité ?

Un réel insaisissable dans sa totalité, que certains ont eu cette idée d'en profiter pour faire des mystères, raconter des histoires, en obtenir pouvoirs. Pouvoirs sur les autres, et les autres deviennent une masse, une foule, le peuple que l'on légifère, que l'on dirige, que l'on utilise, que l'on manipule, que l'on exploite, que l'on violente, que l'on maltraite, etc.

Ainsi ce mensonge du père Noël administré aux enfants, ne serait qu'une répétition, qu'un entraînement, qu'un conditionnement pour un mode de fonctionnement dont la base est le mensonge pour le pouvoir.

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Ho ho ho ! 

Indécence et arrogance

 

Je ne vais pas remettre ça
Mais,  quand je les vois dans leurs cages dorées...
Pitié !

L’indécente arrogance des riches et des puissants ou les dessous nauséabonds de la République

Ces gouvernements !

 

Faire se dresser les hommes contre les hommes !

Quel funeste destin !

Rats des champs, rats des villes

 

Les rats dans la cale enfermés font un raffut du diable

Inutile de s'affoler

Je me souviens...

Je n'ai rien contre les rats, le problème c'est que lorsqu'ils trouvent un abri, ils prolifèrent à grande vitesse.

Bien sûr dame nature a tout prévu et lorsqu'ils deviennent trop nombreux, leur société se désorganise, les jeunes (on le dit) se rebellent. Quoi qu'il en soit, j'ai habité une case dans le creux d'une ravine où ces rongeurs s'étaient installés dans le sous-toit. Au début j'ai cohabité avec eux sans me poser de question, et puis est venu ce temps, où toute la nuit cela cavalait au-dessus de ma tête. Ce n'était plus une question de choix, il fallait agir. Le poison fut déposé là où il se doit.

Quel vacarme ! Vraiment impressionnant, quelques uns sûrement morts empoisonnés, et les autres, tous les autres manifestant leur mécontentement, toute la nuit durant. Après quoi, ils ont déménagé, et la maison redevint silencieuse, ils ne sont pas revenus.

Enfermés dans la cale, ayant colmaté les ouvertures et même les issus de secours, sûr ça va faire beaucoup de bruit.

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Du capitalisme et de l'homme, de l'homme et du capitalisme

Le problème c'est le capital, ce n'est pas l'être humain !
Mais l'humain conditionné par le capital est devenu un problème
La peur !

La peur, oui, la peur n'est pas notre ennemi
Elle est pure énergie pour qui ne se sépare pas
Alors tu agis, tu ne subis plus.

Victo Ngai