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vendredi 25 août 2023

jeudi 29 juin 2023

suite ... "Des bibles et autres textes"

 


Merci Anonyme : Et combien de faillites ?

Miche : Des faillites ? Chacun juge de l'autre en ces termes !
Ce que je veux dire, c'est que ce sont des histoires ! Il n'y a pas lieu de critiquer, de dire des faillites et des réussites! Nous sommes des histoires.


Imagine anonyme !
Le soir autour de feux de bois
Chacun s'invitant
Comptant sa propre histoire
Et tous écoutent, émerveillés.
Gaïa illuminée par tous ces feux ! 





lundi 24 avril 2023

De la prison


Ce que j'ai pris, ici
Je le dépose, là-bas
Pourquoi ?
Tout a un sens, tu sais...

Le monde dit normal
Ce qui rentre dans les cases
Normes
Ne cesse de produire
Par la dictée
De l'anormalités
La normalité
Là où sont des singularités.

Le premier effet est de les regrouper
Dans des catégories, des classes
Ainsi les traiter, faire exister
Une réalité par le conditionnement.

La prison, tout simplement
Et dedans la prison ?
Un cœur qui bat ?
Une attente, un espoir ?
Une désespérance ?
Une fin de non-recevoir ?
Une exclusion ?

La mort... dans l'âme. 




jeudi 28 avril 2022

C'est quelque chose !

 
Cet espace quand cela se tait
Le mental le perçoit comme un vide, un précipice
Enragé il tente de construire des ponts
Mais tous sont illusoires et il le sait
Déprimé il pleure sur son sort.

Et voudrait bien en finir avec ce cauchemar
Arrogant il dit qu'il s'en fout
Et se lance à cœur perdu dans toutes ces activités
Qui le feront courir après le temps
Qui vient toujours à manquer...
 
Cet espace... hors du temps
Invitation d'une danse, d'une musique
Se fondre, être ce vide vibrant d'énergie...
 
Onde et particule
Que la raison ne peut pas saisir
Mais que le corps/esprit perçoit...
 
C'est quelque chose !


vendredi 18 février 2022

But et moyens

 

Ne pas confondre, le but
Avec les moyens.

Exemple : calme et sérénité
Sont nécessaires au travail
Mais celui qui se voue à son bien-être
Tel Narcisse se mirant dans le miroir de l'eau...



- Ni but ni moyen: Conséquence.

- Oui, le but et le moyen entraînent la loi de causes à effets... 



Merci

dimanche 10 janvier 2021

Un brin de vent...

 

Un brin de vent …

et un brin d'herbe.





Dans le moindre mouvement d'air

C'est communication, information

Une information lumineuse

Belle, profonde et joyeuse.

 

vendredi 6 mars 2020

jeudi 13 février 2020

De l'épuration, c'est alchimique


Si triste !
Fatigué bien sûr
Alors la tristesse envahit
Tous les champs des possibles.

Ne pas se défendre de ça
Laisser ces vapeurs envahir chaque recoin
Cela participe du processus
Et que là, c'est épuration

Il y a toujours quelque chose à épurer.



mardi 7 janvier 2020

Ce travail...

Ce travail est de chaque instant
Et pourtant il n'impose rien
C'est en soi que cela impose.

Des mécanismes routiniers
Le désir d'aller vite, au plus vite
La peur de ne pas être à la hauteur
Il ne s'agit pas de faire une critique mais de voir qu'il en est ainsi. 

Ce qui se fait est toujours juste
A condition de voir "ce qui est" dans l'instant
Alors être en mesure de donner un but
De produire sa propre intention.

C'est une question d'énergie, de niveau d'énergie
Qui dépend du niveau de perception
Qui établit un niveau de conscience
Ce n'est plus seulement un glissement.

Glissement il y a
Il est perçu comme une porte qui s'ouvre
Et une pièce dans laquelle on entre
Infiniment curieux de découvrir.





 Kevin Peterson

samedi 28 décembre 2019

Se mettre à la place de l'autre …


Il me dit et c'est reproche :
« Tu ne te mets jamais à la place de l'autre ! »
Mais qu'est-ce que tu me racontes-là !
Quelle confusion mon enfant
Dans ta tête et dans ton cœur !

Se mettre à la place de l'autre...
Parles-tu de compassion ?
Je n'aimes pas cette façon de se pencher sur autrui
Comme si soi, on était... on était ! Tellement... tellement !
Sorti d'affaire, à l'abri, que je peux moi, faire cela pour toi
Ne sais-tu pas qu'il n'y a que les esclaves qui attendent d'être sauvés
Alors oui, si c'est cela ton reproche, j'assume cette droiture en moi
Le regard droit, ni levé, ni baissé
Le regard ni dehors, ni dedans, il est là où tout se voit.

Se mettre à la place de l'autre …
Parles-tu d'empathie ?
C'est donc que jamais tu ne me regardes...
Je souffre de tous les souffrances, les vraies
Je me réjouies de toutes joies, les vraies
Parce que là où il y a confusion, tout est faux
La commedia dell'arte, se regarder le nombril
Pleurer sur soi, même quand on dit que non
Le laisser-aller, si terriblement laid !

Tu vas mal, il n'y a que toi qui puisses te tirer de là
Je vois combien tu cherches dans ta désespérance à entraîner
Ceux qui voudraient bien se mettre à la place de...
Je t'aime, vraiment je t'aime, tu n'as pas idée 
Parce qu'il n'y a pas d'idée pour exprimer l'amour
Et parce que je t'aime et que je souhaite ta libération
Je ne vais pas me mettre à ta place, non !




vendredi 20 décembre 2019

Du machisme

Ah ! L'homme, le mâle qui prétend dire à la femme
Ce qu'elle est, ce qu'elle devrait être
Et encore parler de sa libération, de son émancipation 
Peut-être même prétendre en être le maître d’œuvre. 

Occupe-toi de tes affaires !



dimanche 20 janvier 2019

La révolution du silence

La prison est mentale
Et le mental produit ce monde
Ici nommé "le monde des hommes"
Ou encore "la cité perdue"
Tant nos sociétés et les règles qui les régissent
Et les institutions, et les discours des spécialistes
Et le niveau des relations qui y sont permises
M'apparaissent en dissonance, en rupture totale
Avec une autre dimension perçue dans la nature
Nature, essence de toutes choses
Et c'est bien en moi que cela se fait
En "moi", là où la prison de ce mental atrophié est sans effet.

Comme sortir d'une ville tellement bruyante
En tellement d'arrogances, de niveaux d'intolérances
D'indifférences, de mépris, d'exclusions
Ici sur le trottoir des pics hérissés pour que ce "sans logis"
Ne puisse s'installer que c'est pas bon pour le commerce !
Derrière des murs, entre ces murs, des enfants soumis à la règle
Leurs esprits et leurs corps entraînés, conditionnés
A "la bonne forme", toujours "la bonne forme" qui s'impose !

Sortir !  c'est interdit !
Ils sont fous !
Ils ne peuvent rien en vérité contre cette liberté intérieure
Ces glissements en esprit, cette ouverture en conscience
Mental, tout est mental
Et au-delà de ma petite personne qui y trouve son compte
C'est bien certain ! des informations s'échangent
Des informations comme des grains de sable
Dans les rouages de la grande machine du système sociétal
Qui s'est auto-proclamée, ordre du monde. 




Panshashyria

mardi 14 novembre 2017

Des plans

Quand tu vois
Le plan dans lequel
On a voulu t'enfermer
Tu es sauvé !

Tout est à faire
Mais tu es sauvé!



samedi 26 novembre 2016

Des limitations

Chacun se donne ses propres limites
Il n'y a rien à redire là-dessus
Pourtant dans la plainte, dans la revendication aussi
Cela oublie, ignore que ces limites sont siennes.

Le pas suivant vise à imposer à autrui ces limites
Que l'on s'est imposé à soi-même
Ça c'est un peu l'histoire de l'humanité
La guerre par le manque
L'injustice par le manque
L'arrogance par la peur
Déguiser ses peurs coûte que coûte

Voir cela est, en être libre
Voir ne finit jamais
Ce qui demandait le temps de la répétition
Vif comme l'éclair.

lundi 29 juin 2015

"Le sens précède"

Non, non, "le sens précède"
Cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien à faire
Cela ne veut pas dire que le chemin est tout tracé
Cela ne veut pas dire qu'il y a un dieu, une entité, une force extérieure qui organise à son idée, il n'y a pas de créateur en tant que tel. 
Interconnexions, "infinité de calculs", un monde qui ne cesse de se créer et pourtant au centre immobile.

Cette expression "le sens précède" n'est juste que dans ces circonstances particulières où l'esprit de l'homme prétend produire le sens, produire de l'ordre là où cela ne serait que chaos.
C'est tout ! Quand cela est clair, cette expression ne veut plus rien dire.

samedi 27 juin 2015

"Donne-lui ta vie, il te l'a rendra bien !"

En vous, monsieur, la vie n'est pas faite de blanc et de noir, et vous aimez cette palette de gris infinis. Peut être ainsi touchez-vous quelque chose de l'infinité des possibles, ne pouvant vous confronter à l'impossible.
Comme nous sommes différents, incompatibles même, moi voyez-vous j'aime le blanc au plus pur, et le noir au plus profond. Ils se marient sans se confondre. C'est d'une beauté infinie. Qui a raison, qui a tord ? Aucun des deux, nous sommes ainsi faits, et contrairement à vous je ne cherche pas à me changer. En fait vous non plus, seulement l'illusion.
Je ne vous enverrai pas ces mots, vous en feriez encore une tartine, et c'est assez de couches de gris comme ça !

Il en a toujours été ainsi, bien qu'il ait fallu beaucoup de temps pour dépêtrer ce qui ne m'appartient pas. Ce monde des hommes est tellement conditionnant ! La vie même nous conditionne, et retrouver dans tout ce fatras son propre rêve, et encore ceux qui sont en résonance, cela peut être un long chemin, le mien fut long. Pourtant cela se réalise, c'est écrit... cet enfant ébloui par la lumière blanche qui a connu le plus noir, l'ombre qui n'est pas la projection du soleil sur un objet, cet enfant... je l'ai rencontré. Oui, ces enfants-là sont adultes aussi, en eux tous les temps en même temps, bien distincts les uns des autres, le mariage ne fait pas assimilation, confusion, tout au contraire. 
 

vendredi 13 février 2015

Nuit

D'encre est son silence
Les turbulences dorment
Déjà
Écoute si profonde
Suspendue.


Arrêt sur image

Il y a l'en-deça, il y a l'au-delà
Puisqu'il y a eu un arrêt
Virtuel cet arrêt.


jeudi 12 février 2015

La menace

Comment avons-nous pu penser que la guerre qui n'a jamais cessé, resterait localisée là où les tueries ne nous concernent pas directement ?
Il faut entendre dans ce mot "directement", non pas que cela ne nous concernerait pas, mais qu'on pourrait continuer à consommer, se distraire, brasser des idéaux sans fondement, croire au progrès de l'humanité.
 Je dis, "nous", je n'ai jamais pensé cela, ce "nous" est donc un nous consensuel, une masse mue à l'insu du plus grand nombre.

La face hideuse du monde des hommes est plus que jamais grimaçante, menaçante... dans le plus grand secret, les grands de ce monde opèrent des tractations, et dans la cour de récréation on continue à jouer à ce jeu curieux de demain, cela sera mieux.


mercredi 31 décembre 2014

Décadence


Il y avait la pression de la nature
Il y a la pression du monde que nous faisons en réaction
Pour connaître les deux, je sais le vivant dans la première
La lente agonie dans la deuxième.

Le problème c'est la réaction
Elle vient du refus, du rejet, de l'exclusion
Elle vient du désir de domination, de conquête
De l'oubli que nous faisons partie.

Une dérive que certains ont vu venir de loin
Que d'autres ont voulu à tout prix ignorer.