Si pur, si clair, lumière !
Comment
avez-vous pu tuer cet animal si beau
Si sauvage, parfaitement
inclus dans le tissage du vivant ?
Comment avez-vous pu
rendre à l'esclavage, à l'élevage
Ces animaux tellement
sauvages, libres avant vous ?
Comment n'avez-vous pas fait la
traque
Dans ce que vous portez à votre bouche, sur votre peau
De
ces actes barbares, témoins de la déconnexion totale
De l'esprit
humain qui n'ose plus RIEN.
Quelle
est cette marque qui vous marque ainsi
Cette faiblesse de
l'âme
Que peut-être vous l'avez perdu ???
« Nous avons perdu la félicité indistincte qu'on voit aux bêtes, aux poissons enchâssés dans l'eau cristalline, aux bêtes des bois couleur de feuilles mortes, aux oiseaux ivres d'air. Nous sommes devenus pensifs et, partant, étrangers, frêles, frileux, vulnérables. Il nous faut une table, un toit, du feu, une maison. Nous nous souvenons parfois d'avoir été au monde pleinement, sans états d'âme, d'un très lointain commencement. Je rêve, pour finir, d'une lande ouverte à tous les vents où l'on verrait ce qu'il en est de nous et de tout et d'y être, avant d'avoir été. »
Eric :
Nous acceptons d'être esclaves,
ne vivons-nous pas comme dans un
élevage ?
L'enfant
Où va l’océan, lorsqu’il se retire loin, loin, là-bas ?"
Me souviens d’un enfant qu’avait jamais vu la mer
Béa, baba, et si calme
Devant la vaste étendue de plage vide d’eau
Il avait reçu le baptême, le saint esprit sur la tête.
Et ceux qui avaient admis par renoncement
Et ceux qui avaient admis à force d’explications
N’ont rien vu de ce qui se passait là
Que c’est grand don que de ne pas savoir
Et vivre d'émerveillement.
Participation à Mil et Une ici Merci !
Mots déjà partagé ici, Merci Mathilde
Quoi
de plus beau que les yeux d'un enfant qui découvre le monde
...
Merci Miche Gou pour ces lignes d'émerveillement ...
Bises
et belle journée
Mathilde
☼♫♪♥
Douceur
Mathilde... nos enfants ( ceux que nous avons été) sont toujours
là...parfois on peut les voir pointer leur nez.
Ils sont si
vivants...
Je t'embrasse