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samedi 28 septembre 2024

La facilité ?

Il n'y a pas de facilité
Il n'y a que du laisser-aller
De la paresse, du dispersement
Du contentement
Comme si rien d'important n'existait
Comme si tout allait de soi
Comme si... nous ne vivions pas
Vraiment, entraînant toujours plus
Le monde et les jeunes générations
Dans la désolation.

Des signes, des preuves ?
Ces hommes politiques dans leurs discours
D'un niveau toujours plus bas
Animés par des instincts pervertis
Car l'instinct chez le penseur n'est qu'un prétexte
Et voter sans choix, donner pouvoir à ces charlatans ! 
 
 
 

 

mercredi 6 avril 2022

C'est toujours possible, le laisser-aller

 

C'est là, ce sentiment de noyade
Toujours possible de se laisser tirer dans les abysses
Y aurait-il une issue dans les tréfonds sans fond ?
 
Taquer du pieds, ne pas rester
C'est du laisser-aller
Si violent le laisser aller.
 
Illusion 
Dérive d'un électron isolé
Tout est lié, ouvre-toi, la vibration est là.



jeudi 18 novembre 2021

De la négativité

 

La négativité est la pire des choses
Forme accentuée d’auto-apitoiement
Laisser-aller !
Elle aspire toute l'énergie.


Le laisser aller
L'auto-apitoiement
N'ont jamais rien donné de bon
Mais dans les circonstances présentes
Fin d'un cycle, c'est la chose la plus nocive
Qui soit.


Peut-être un passage obligé
Mais … ne pas s'arrêter ! 


De passage nous sommes 
Pas là pour entasser, amasser
Dans cette quête insensée
De sécurité !


Pas de sécurité dans le vivant
Juste passer.



samedi 28 décembre 2019

Se mettre à la place de l'autre …


Il me dit et c'est reproche :
« Tu ne te mets jamais à la place de l'autre ! »
Mais qu'est-ce que tu me racontes-là !
Quelle confusion mon enfant
Dans ta tête et dans ton cœur !

Se mettre à la place de l'autre...
Parles-tu de compassion ?
Je n'aimes pas cette façon de se pencher sur autrui
Comme si soi, on était... on était ! Tellement... tellement !
Sorti d'affaire, à l'abri, que je peux moi, faire cela pour toi
Ne sais-tu pas qu'il n'y a que les esclaves qui attendent d'être sauvés
Alors oui, si c'est cela ton reproche, j'assume cette droiture en moi
Le regard droit, ni levé, ni baissé
Le regard ni dehors, ni dedans, il est là où tout se voit.

Se mettre à la place de l'autre …
Parles-tu d'empathie ?
C'est donc que jamais tu ne me regardes...
Je souffre de tous les souffrances, les vraies
Je me réjouies de toutes joies, les vraies
Parce que là où il y a confusion, tout est faux
La commedia dell'arte, se regarder le nombril
Pleurer sur soi, même quand on dit que non
Le laisser-aller, si terriblement laid !

Tu vas mal, il n'y a que toi qui puisses te tirer de là
Je vois combien tu cherches dans ta désespérance à entraîner
Ceux qui voudraient bien se mettre à la place de...
Je t'aime, vraiment je t'aime, tu n'as pas idée 
Parce qu'il n'y a pas d'idée pour exprimer l'amour
Et parce que je t'aime et que je souhaite ta libération
Je ne vais pas me mettre à ta place, non !




lundi 21 novembre 2016

La facilité ?

Il n'y a pas de facilité
Il n'y a que du laisser-aller
De la paresse, du dispersement
Du contentement
Comme si rien d'important n'existait
Comme si tout allait de soi
Comme si... nous ne vivions pas
Vraiment, entraînant toujours plus
Le monde et les jeunes générations
Dans la désolation.

Des signes, des preuves ?
Ces hommes politiques dans leurs discours
D'un niveau toujours plus bas
Animés par des instincts pervertis
Car l'instinct chez le penseur n'est qu'un prétexte
Et voter sans choix, donner pouvoir à ces charlatans !