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jeudi 15 août 2024

Ploufff et reploufff

 

Lorsqu'une confusion cesse
Le soulagement est immédiat
Ce qui est vu
Ne peut plus être oublié
C'est un barrage qui cède
Ce qui était pris comme réel
Ploufff

 

Prochore Tchuidjang

vendredi 26 janvier 2024

De la pression écologique de l'homme sur son territoire


Il n'y a qu'une façon pour l'homme de libérer la terre
La planète en sa nature, c'est de se libérer lui-même. 

Il n'y a pas de libération par le collectif, c'est en chacun. 





samedi 16 décembre 2023

Libération, un processus de compréhension

 
N'est-ce-pas étrange de libérer, ainsi, l'autre ?

Ah si ! C'est vraiment étrange de découvrir l'autre prisonnier en soi
Comprends-tu ?
Alors ce pouvoir, tout à fait réel.




dimanche 22 octobre 2023

Du chemin qui n'est pas

 

En vérité il n'y a pas de décision unilatérale, même si certains prétendent avoir le pouvoir d'en décider et encore de l'imposer à l'autre, aux autres (quand il est question de politique sociétale ou d'entreprise). Il n'y a pas de décision unilatérale même si certains se sentent accablés par ce qu'ils comprennent comme une décision arbitraire qui s'impose à eux.

Et l'innocent condamné à mort à qui l'on coupe la tête ?

Là évidemment... Mais non, malgré ces circonstances si tranchantes, la décision qui conduit à la condamnation n'est pas l’œuvre d'un seul parti. C'est comme une victoire, elle s'impose aux vaincus, mais avant il y a eu une bataille que l'on a perdu.

Devant la complexité des situations on ne saurait comprendre en simplifiant : tout gentil, tout méchant. On ne comprendra pas plus avec les analyses qui visent à justifier ceci et cela à n'en plus finir, histoire de ménager la chèvre et le choux. Et pourtant, c'est dans cette direction (ménager la chèvre et le choux) que l'on peut (loin, loin là-bas) apercevoir la lumière, toute petite et vacillante. 
Ce qu'il nous faut trouver pour sortir de cette dichotomie bourreau/victime dictée par la loi du père, c'est le chemin. Et ce qui rend la tâche difficile, mais non compliquée, c'est qu'en vérité il n'y a pas de chemin dans le sens que l'on accorde à ce mot, qui est de marcher vers un point fixe.





samedi 16 septembre 2023

Expulsion, hors de...

 

Ce qui est contenu,

Sous la pression d'un dehors
C'est un dialogue toujours
Tu as dit "infinité de calculs".

C'est un dialogue
Avec une altérité forcément
Si non rien à échanger.

Le risque étant d'atteindre
Le point de non-reconnaissance
Expulsion.






mardi 8 août 2023

De mourir et d'aimer


L'appartenance, qui est du lien au monde
Est si souvent confondue avec posséder, être propriétaire !

A tel point que lorsque "partir" se présente
C'est un affreux drame
Dont on ne veut jamais, jamais se remettre
Parce que cela sera accepter de mourir
Et ça on ne veut surtout pas mourir !

A peine l'obscurantisme de cette confusion
Est-il démasqué, que le paysage s'éclaire
Tout est là !


Déjà ici




dimanche 14 mai 2023

Décentraliser

 

C’est que ces grandes installations !!! qui défigurent les paysages !

A mon sens, les solutions sont locales, sans gigantisme 
Mais voilà cela rend autonomes, des territoires, des villages
Des familles, des personnes
Et ça “on” n’en veut pas!!!





mardi 25 avril 2023

De la porte que tu ouvres ou pas

 

Comment vas-tu sortir de cette prison ?

Entendre ce quelque chose d'autre
La peau qui bat
La chaleur qui monte
La porte qui s'ouvre
Comment ?

Si tu vois que tu es dans cette prison
Au moment de voir que tu es ce prisonnier
Tout est possible
Tu décides d'y rester ou d'en sortir.

Cette femme, voisine
Avec ses poules en cage
Je l'entends parler à ses poules
Un jour, elle s'en vanta auprès de moi
Je les aime mes poules, je leur parle.
Ah oui tu les aimes, alors tu les fais vivre en cage, tu les tues, et tu les manges. 

Elle n'a pas réagi
Elle parle encore à ses poules. 





Nightcrawler


mardi 11 octobre 2022

Ni de plus grand, ni de plus petit

 

Vénérer un maître ou toute forme de divinité
C'est toujours, être dans l'attente d'une reconnaissance
S’asseoir à la droite du père
Être en haut de la pyramide.

Dans le chacun en soi, ni de plus grand, ni de plus petit
Dans la nature le plus puissant des prédateurs peut être dérouté
Par sa proie qui semble si fragile.


mardi 9 août 2022

C'est la planète libérée !

 

Je n'en doute pas un seul instant
L'homme se libérant enfin de ses chaînes
Illusions et mensonges

L'homme entrant dans la maîtrise
De son propre destin tout accomplissant
C'est la planète libérée !

Il n'y a pas d'autre façon de sauver le monde.



Alezandro : Oui mais voilà quel est réellement le poids et la nature de ces chaînes?

Miche : C'est un travail que chacun de nous peut (doit) faire, de répondre à cette question : "Quelle est la nature de mes chaînes ?"



dimanche 15 août 2021

"L'amour libère"

 

Je n'ai pas fait de la vie un combat
Et pourtant il a fallu se battre.

Survivre !
Mais à quoi ?
A la dépression en soi
Aux conditions sociales
A l'injustice
A la raison du plus fort
A cette main mise sur le beau
Le vivant, le libre.

Ne pas perdre le goût d'aimer...
Il n'a pas été perdu
Il a grandi
Jusqu'à te rencontrer
« L'amour libère ».

Ainsi vient le jour
Où ce n'est plus un manque que l'on cherche
A combler
Un boulet que l'on traîne
La question d'aimer ou de ne pas aimer
N'a plus d'existence
Il n'y a plus besoin de se battre.





Merci

mardi 20 juillet 2021

Libérer la forme

 

On ne combat pas le consensus
Sans tomber dans les mêmes travers
Qui consiste à trouver des preuves
S'en étayer une hypothèse de mensonges
Ne pas marcher sur ce chemin
Aller la découverte de ce "lieu"
Où la forme est libre.





Merci

lundi 13 juillet 2020

En toi, toujours en toi !


Esclaves consentants...
Inutile de dire une force extérieure
Qui s'imposerait à un intérieur
Cette analyse de la situation
Participe encore du mensonge. 

Oh bien sûr des armés sur le pied de guerre
Prêtes à fondre sur la foule
Oh bien sûr le conditionnement
Et plus rien n'en réchappe
La nourriture, l'eau, l'air, les ondes
Tout s'est chargé des pollutions
Mais la véritable cause
Dont on veut si fort ignorer
L'origine, est bien dans chaque esprit.

Dans la manière dont cet esprit s'est formé
Dans l'idée que le sens il fallait le créer
Niant ainsi que le sens précède
Que le monde, avant cet esprit
Est ordre ne cessant de jaillir.

Retrouve cela en toi, et tu es sauvé !






Anna Syperek

jeudi 14 mai 2020

Dans cet espace rendu à la communication, ça communique !


Est-il possible que nous ignorions tout de la communication ?
Soit nous voulons diriger de main de maître
Soit nous prônons le laisser faire
Ce qui au demeurant est encore une façon de vouloir diriger.

Notre corps, comme tout organisme vivant, communique sans cesse
La science a dit des niveaux : gazeux, chimiques, biologiques, électriques
Quantique, et c'est de conscience dont on parlera alors.

La conscience n'est pas un grand sac à remplir ou à vider
D'ailleurs cette idée introduit, quelqu'un, quelque chose pour remplir ou vider
Matière vibrante, la conscience qui nous fait conscient de...
Est communication, échange d'informations.

Alors il reste qui, il reste quoi, pour se balancer entre maîtrise et soumission ?
Où est ce sujet qui se dit impuissant ou tout puissant ?
Où cette idée que je suis une entité séparée ?
Qu'est devenu ce conditionnement à formater une organisation pyramidale
La tête commandant à la base, la tête commandant au corps ?

"Il" a vu cela, vu ce penseur qui sans cesse se sépare refusant de naître et de mourir 
Vu ce désir de durer encore et encore 
Dans une forme décidée par lui, pour lui
Voir... 

Cet effort tyrannique a pris fin 
Et tout l'espace rendu à la communication.





Ted Chin

dimanche 29 mars 2020

De nos relations

Ce mode de fonctionnement
Qui fait les relations perverses
Un bourreau et une victime ! 

En chacun la libération.

Et quand c'est fait
C'est quelque chose !


 Blue Morpho

mercredi 26 février 2020

Sans reproche


Ne pas nourrir la rancœur
Trancher et s'accorder
Trancher ici, s'accorder là
Ainsi nous n'avons plus rien
Pour faire reproche.



Marc Chagall

dimanche 28 avril 2019

... suite (De la raison à la méthode ) - Te voilà vivant !


Au cœur de ce désastre seras-tu en mesure
De Voir l'étendu des dégâts, afin de !
Comprendre que c'est ta propre relation au monde
Qui se trouve ainsi confisquée, interdite !

Tu as vu ?
Alors te voilà en mesure, sans commune mesure
De tout entreprendre de l'expérience vivante
Dans l'écoute du monde, toujours NOUVEAU !

Et voici que tu découvres que le monde aussi
T'écoute, il te répond !

Plus rien à voir avec l'ancien
La répétition, l'exécution testamentaire
Les vieilles maladies, manies !
Te voilà, VIVANT mon frère.



dimanche 14 avril 2019

Du grain à moudre

Le petit mental cherche sans cesse du grain à moudre
Tout est bon dans la prison qu'il est à lui-même
Ressassez, agiter, cogiter, trier.

Nul besoin de lutter contre ça
Lutter c'est renforcé !
Juste Voir qu'il en est ainsi.

Ce qui se présente alors ?
Ce qu'il y a à faire, tout simplement.

La différence ?
Tout se fait, circulation d'énergie
Sans personne pour traîner la patte
Courir après ceci, s'angoisser, se vanter.

Un mot ?
Efficacité.




lundi 14 janvier 2019

Des niveaux de dialogues

Le langage courant participe, comme tant d'autres outils
Au maintient de cette représentation qu'est le consensus.

Le niveau de densité de cette représentation fait toutes les catastrophes
Les esprits sensibles perçoivent cette densité
Comme les animaux sentent venir les tremblement de terre.

Tout est mensonge parce que tout participe au maintient
De cette affirmation d’une réalité tangible, descriptible, etc.

Mais c’est encore mensonge que de dire
« Parler avec les plantes, les oiseaux, le vent... »
Parce que là où cela se fait, les plantes, les oiseaux, le vent
Ne sont pas la chose décrite par la représentation.



Ghodsawari dev, dieu des graines, Bouse, résine et acrylique

samedi 17 novembre 2018

Des dieux, des maîtres, des sorciers, des banquiers...

Ainsi donc, l’homme n’a eu de cesse de vénérer, supplier, implorer
Des dieux, des maîtres, des sorciers, des banquiers…
Dans le secret désir d'être reconnu dieu lui-même, tout puissant
Dans son immortalité.

Sur le voile ainsi tendu entre le monde et lui
L'homme voit des ombres se dresser
Elles sont bien réelles ces ombres
Toujours plus, alors que le voile s'épaissit.

Pourtant, il suffit d'un instant...