Je
n'ai pas fait de la vie un combat
Et
pourtant il a fallu se battre.
Survivre !
Mais
à quoi ?
A
la dépression en soi
Aux
conditions sociales
A
l'injustice
A
la raison du plus fort
A
cette main mise sur le beau
Le
vivant, le libre.
Ne
pas perdre le goût d'aimer...
Il
n'a pas été perdu
Il
a grandi
Jusqu'à
te rencontrer
« L'amour
libère ».
Ainsi
vient le jour
Où
ce n'est plus un manque que l'on cherche
A
combler
Un
boulet que l'on traîne
La
question d'aimer ou de ne pas aimer
N'a
plus d'existence
Il n'y a plus besoin de se battre.
Croyez-le, le véritable amour est éternel, infini, toujours semblable à lui- même ; il est égal et pur, sans démonstrations violentes ; il se voit en cheveux blancs, toujours jeune de coeur.
RépondreSupprimerHonoré de Balzac ,
Le Lys dans la vallée