Le
seul recours, de l'éclatement de son être et son drame, est aimer.
Aimer ne peut vouloir qu'une seule chose qui est de libérer (de sa
propre folie) ceux que l'on prétend aimer.
Marcher
dans la nuit, le cœur éveillé, cet éveil du cœur qui précède
et rend possible l'apparition de la lumière au cœur de la pierre
vivante.
Alors
s'en est fini de l'auto-apitoiement et sa face hideuse. Nos enfants à
naître ne connaîtront plus rien de cette errance qui fait confondre
la mort avec une fin de non-recevoir. Mourir est le chemin.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos commentaires