A
force de le dire
Et
ce dès le premier instant
A
force de le vouloir
Voilà
que tu disparais.
Nous
disparaissons tous
Du
champ du connu
S'endormir
puis l'éternel sommeil
La
mort.
Pourtant,
je n'en ai jamais entendu d'autre
Revendiquer,
invoquer, annoncer
Ce
retrait en corps et en esprit
Je
ne pleure plus.
Les
bras ballants
Dans
cet oscillement
Te
regarder
T'écouter.
Je
ne te cherche pas
Tu
es là en moi
Même
si je ne suis pas en toi
Au
point que nulle part, je suis.
Nulle
part, et partout
Où
les formes s'effacent
Onde
et particules
En
cette danse.
Salés, au bout de la langue... n'est-ce-pas œuvre de déni ?
RépondreSupprimerOui salés, et la gorge nouée, mais ce n'est pas "œuvre de déni"... la force consciente travaille, art de rêver... changement profond, graines pour les générations à venir...
RépondreSupprimerOn ne peut compter sur les autres...
RépondreSupprimerC'est en chemin, nous travaillons à combler ce précipice :)
RépondreSupprimerEt si pour le moment "les autres" viennent à nous manquer, nous pouvons les aimer, les aimer toujours plus.