vendredi 20 janvier 2017

De la connaissance qui libère

La montagne longtemps a grondé
Un grondement sourd
Une onde avec un centre
La montagne entre les deux fleuves.

Personne pour l'entendre
Enfin... presque
D'un coup cela a cédé
Des pans entiers écroulés.

Alors les eaux ont tout emporté.

Comme ils ne savaient pas
Se nourrir de prana
Ils sont morts de faim.

3 commentaires:

  1. Le souffle vital nourrit son homme mais le corps n'a-t-il pas des besoins en énergie que le souffle ignore?

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  2. Il y a l'histoire de cet homme... il s'était trouvé enfermé dans une armoire frigorifique sur un bateau il me semble. On l'a retrouvé mort "de froid" alors que le frigo n'était pas en fonction.
    C'est du côté du mental que cela s'ouvre ou se verrouille.

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