Ne vous semble-t-il pas que ce que nous nommons "cohérence", entendue comme la capacité à calculer des raisonnements, analyser et apporter la preuve, ne vous semble-t-il pas que cette capacité toute mentale, repose elle-même sur un mensonge ?
Celui qui prétend établir une vérité, par une réalité opposable à ce qui ne serait pas réel, et nous avons inventé le mot « virtuel ». Celui qui dit que le hasard n'existe pas, qu'il suffit de connaître tous les paramètres pour prédire. C'est encore ce mensonge qui prétend que sans cerveau il n'y a pas de conscience, cerveau humain il s'entend.
Je suis d'accord avec vous. Juste une remarque : c'est limiter la compréhension du mot "cohérence" que de le lier à la capacité de raisonner, analyser, le limiter à tout ce qui fait appel à la mémoire qui engrange. Je parlais dans ce billet d'un « certain niveau de cohérence », à cet effet. A un autre niveau la cohérence est ce qui ne participe d'aucun mensonge, à voir avec l'instant présent...
Sûr le mensonge est une d'une grande facilité. Le problème c'est qu'il désigne toujours un coupable, d'une manière directe (souvenir de la fraterie, une connerie de faite, réunion des 4 enfants devant le tribunal parental, menace. Et là ma sœur de dire : "Je l'ai vu, c'est Michelle !" Ouahhh, c'est quelque chose ! elle faisait-là une sacré économie la frangine!) ou indirecte (prétexte de l'inconscient).
Anna, l'énergie n'est pas limitée, elle est illimité, seulement l'état de déconnexion nous en limite l’accès. Ce n'est certainement pas le mensonge qui va permettre la reconnexion. Je ne dis pas ça par méchanceté ou manque de compassion, la plainte amplifie le laisser-aller, le déni, la déconnexion.
Sûr le mensonge est une d'une grande facilité. Le problème c'est qu'il désigne toujours un coupable, d'une manière directe (souvenir de la fraterie, une connerie de faite, réunion des 4 enfants devant le tribunal parental, menace. Et là ma sœur de dire : Je l'ai vu, c'est Michelle ! Ouahhh, c'est quelque chose ! elle faisait-là une sacré économie la frangine!) ou indirecte (prétexte de l'inconscient).
Anna, l'énergie n'est pas limitée, elle est illimité, seulement l'état de déconnexion nous en limite l’accès. Ce n'est certainement pas le mensonge qui va permettre la reconnexion. Je ne dis pas ça par méchanceté ou manque de compassion, la plainte amplifie le laisser-aller, le déni, la déconnexion.
Je reviens vers vous Anna... cette question du choix que l'on soupçonne autant en psychologie, qu'en sociologie et encore en philosophie de ne pas pouvoir être, si ce n'est en tant qu'illusion, cette question vous la régler avec vos mots : « Mais le mourant a le droit de vouloir ignorer qu'il est entrain de mourir ! » Comme Krishnamurti le disait, la liberté est un pays sans chemin, on décide et cela Est, comme le mourant décide d'entrer en conscience, ou pas, dans ce passage. Merci à vous et A. pour cet échange.
Ne vous semble-t-il pas que ce que nous nommons "cohérence", entendue comme la capacité à calculer des raisonnements, analyser et apporter la preuve, ne vous semble-t-il pas que cette capacité toute mentale, repose elle-même sur un mensonge ?
RépondreSupprimerLequel ?
RépondreSupprimerCelui qui prétend établir une vérité, par une réalité opposable à ce qui ne serait pas réel, et nous avons inventé le mot « virtuel ».
RépondreSupprimerCelui qui dit que le hasard n'existe pas, qu'il suffit de connaître tous les paramètres pour prédire.
C'est encore ce mensonge qui prétend que sans cerveau il n'y a pas de conscience, cerveau humain il s'entend.
Je suis d'accord avec vous. Juste une remarque : c'est limiter la compréhension du mot "cohérence" que de le lier à la capacité de raisonner, analyser, le limiter à tout ce qui fait appel à la mémoire qui engrange. Je parlais dans ce billet d'un « certain niveau de cohérence », à cet effet.
RépondreSupprimerA un autre niveau la cohérence est ce qui ne participe d'aucun mensonge, à voir avec l'instant présent...
On peut aussi mentir, pour faire l'économie d'une énergie limitée, éviter d'en perdre (de l'énergie) en des discussions sans fin.
RépondreSupprimerSûr le mensonge est une d'une grande facilité. Le problème c'est qu'il désigne toujours un coupable, d'une manière directe (souvenir de la fraterie, une connerie de faite, réunion des 4 enfants devant le tribunal parental, menace. Et là ma sœur de dire : "Je l'ai vu, c'est Michelle !" Ouahhh, c'est quelque chose ! elle faisait-là une sacré économie la frangine!) ou indirecte (prétexte de l'inconscient).
RépondreSupprimerAnna, l'énergie n'est pas limitée, elle est illimité, seulement l'état de déconnexion nous en limite l’accès. Ce n'est certainement pas le mensonge qui va permettre la reconnexion. Je ne dis pas ça par méchanceté ou manque de compassion, la plainte amplifie le laisser-aller, le déni, la déconnexion.
Sûr le mensonge est une d'une grande facilité. Le problème c'est qu'il désigne toujours un coupable, d'une manière directe (souvenir de la fraterie, une connerie de faite, réunion des 4 enfants devant le tribunal parental, menace. Et là ma sœur de dire : Je l'ai vu, c'est Michelle ! Ouahhh, c'est quelque chose ! elle faisait-là une sacré économie la frangine!) ou indirecte (prétexte de l'inconscient).
RépondreSupprimerAnna, l'énergie n'est pas limitée, elle est illimité, seulement l'état de déconnexion nous en limite l’accès. Ce n'est certainement pas le mensonge qui va permettre la reconnexion. Je ne dis pas ça par méchanceté ou manque de compassion, la plainte amplifie le laisser-aller, le déni, la déconnexion.
Mais le mourant a le droit de vouloir ignorer qu'il est entrain de mourir !
RépondreSupprimerLollllllllll, vous avez raison Anna, ce que vous dites-là est tellement exact ! Chacun devant son propre choix, c'est tout à fait ça.
RépondreSupprimerJe reviens vers vous Anna... cette question du choix que l'on soupçonne autant en psychologie, qu'en sociologie et encore en philosophie de ne pas pouvoir être, si ce n'est en tant qu'illusion, cette question vous la régler avec vos mots : « Mais le mourant a le droit de vouloir ignorer qu'il est entrain de mourir ! »
RépondreSupprimerComme Krishnamurti le disait, la liberté est un pays sans chemin, on décide et cela Est, comme le mourant décide d'entrer en conscience, ou pas, dans ce passage.
Merci à vous et A. pour cet échange.
Cela vole haut ici, mon cerveau est gelé par une promenade dans le grand froid alors je me retire sure la ointe des pieds ....
RépondreSupprimerLolll, douce soirée à toi Ariaga !
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