Alors
qu'on est entrain de se noyer
Jeter
la bouée.
Attendre
que vienne le sentiment de satiété
Alors
que nous en sommes en mesure d'en décider.
La
véritable gratitude ne nous rend pas dépendant, redevable
Elle
vient de si profond, là où tout communique, absolument tout.
Oui, plonger toujours plus profond !
RépondreSupprimer... plus profond, où se dissout la peur de se noyer.
RépondreSupprimerToutes les peurs !
RépondreSupprimerOui. Toutes. Et ça c'est un lâcher prise, magistrale.
RépondreSupprimer"On n'apprend pas à nager, on se laisse aller à la nage"
RépondreSupprimerGeorges Bataille
Je pourrais taquiner, parce que le laisser aller, c'est pas ma tasse de thé.
RépondreSupprimerMais bon, je saute, et je vous vois, cher anonyme, apprendre de la nage.
Se laisser aller, laisser aller le soi inconnu, ignoré, c'est pourtant beau, même si, en effet, ça reste loin d'une tasse de thé.
RépondreSupprimerAmitié.
Ah, lollll, libre à vous de vous laisser aller... :)
RépondreSupprimerA plus.
Bon, votre dernier commentaire Anonyme, un clic et c'est effacé, pas moyen de récupérer. Je colle le texte (de vos mots) reçu par messagerie ici : "A plus, s'il appartient à votre liberté de "me" laisser venir"
RépondreSupprimerEt je vous réponds : venir ici est de votre liberté...
Avec tendresse.