samedi 1 avril 2017

Anne, ma soeur anne, ne vois-tu rien venir ?

Voilà la différence, toujours plus de conscience du créateur en nous.
Cela commence avec des mains sur les parois d'une grotte profonde
Et la gorge profonde, en le râle, en le chant
Les mains s'agitent dans le vide, et voici les cordes qui vibrent
Instruments de musique en tellement, tellement de possibles
Toujours plus de liberté et ce n'est pas que la liberté grandisse
Elle est ou elle n'est pas.
Comprends-tu ?

Ce n'était pas plus faux hier, et cela ne sera pas plus vrai demain
La justesse est pour l'accord à son propre instrument
Chaque instrument à son propre accord, unique.





7 commentaires:

  1. https://youtu.be/IIZysMH6oXg

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  2. ... oui... j'entends aussi le bruit des bottes, mais... je ne pleure plus, voilà la différence.
    Merci Anna pour ta présence.

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  3. As-tu beaucoup pleurer Miche ?

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  4. Une faute Miche, "as-tu beaucoup pleuré ?"

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  5. Ah, si tu es une puriste de l'orthographe, tu dois souffrir à me lire, des fautes j'en laisse passer plein !

    Pleurer ? Moi y'en a beaucoup pleurer, nuits et jours durant les huit premiers mois de cette existence, au grand dam de mes parents. Puis brusquement cela cessa. On en a conclu que javais eu besoin d'une deuxième gestation.
    Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que je pleurais encore, mais c'était à l'intérieur. Ils sont rares ce qui m'auront vu pleurer, mais certains l'ont perçu...

    Alors voilà donc qu'un autre cycle encore aura pris fin. Il semble bien que durablement la paix intérieur se soit installée, là...
    :)

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  6. C'est en trouvant cet accord en soi, que l'on rencontre l'accord en l'autre...

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  7. Oui, une évidence, alors même que l'on enseigne à s'oublier soi pour écouter l'autre, et encore en tirer leçon.

    Passe ton chemin, toi qui n'aime pas l'accord en moi.
    :)

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