« L'homme
ne se connaît pas, et ne veut surtout pas se connaître, ce serait
descendre du piédestal sur lequel ses idéaux l'ont juché. Vient le
jour où il se trouve fort dépourvu, ses idéaux se révélant vides
et creux. Alors, il pleure ses amours déçus, déchus... mais
l'amour n'y est pour rien, c'est son ignorance doublée d'arrogance
qui le condamne. »
J'ai
laissé ce commentaire, et m'en suis retournée à mon antre
silencieuse...
Ces
mots étaient-ils creux parce que ceux-là se prenaient pour des
poètes, des auteurs et même des auteures ?
Rendus
creux par d'arrogantes manières ?
Creux
parce qu'ils ne disaient que des bêtises et que ce n'était pas même
amour ?
Se
prendre tellement au sérieux !
Encore
en se frappant la poitrine... sons creux...
Et
ces autres mots... non qu'ils fussent pleins, ni qu'ils fussent vides
Lumière !
Ahhh,
qu'est ce que cette magie ?
Pour
l'émotion ?
Que
neni, l'émotion c'est un peu, beaucoup parfois, comme remuer les
fonds vaseux, ça pue !
Non,
la lumière n'est pas de ce niveau, la décantation a déjà eu lieu,
il y a bien longtemps si bien qu'on l'a oubliée, je veux dire
qu'elle n'a plus d'existence.
Lumière,
clarté sans éblouissance
Profondeur
sans noirceur
Infini,
parce que...jamais fini
C'est
ainsi que je t'aime
C'est
ainsi que j'aime...
A
perte de vue, les notes roulent, s'écoulent
Couleurs,
vives, fraîches, inconfondables
Les
notes s'ouvrent, et s'ourlent
A
l'infini... jamais fini.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos commentaires