mardi 4 avril 2017

Tiens...

« L'homme ne se connaît pas, et ne veut surtout pas se connaître, ce serait descendre du piédestal sur lequel ses idéaux l'ont juché. Vient le jour où il se trouve fort dépourvu, ses idéaux se révélant vides et creux. Alors, il pleure ses amours déçus, déchus... mais l'amour n'y est pour rien, c'est son ignorance doublée d'arrogance qui le condamne. »
J'ai laissé ce commentaire, et m'en suis retournée à mon antre silencieuse...

Ces mots étaient-ils creux parce que ceux-là se prenaient pour des poètes, des auteurs et même des auteures ?
Rendus creux par d'arrogantes manières ?
Creux parce qu'ils ne disaient que des bêtises et que ce n'était pas même amour ?
Se prendre tellement au sérieux !
Encore en se frappant la poitrine... sons creux...

Et ces autres mots...  non qu'ils fussent pleins, ni qu'ils fussent vides
Lumière !
Ahhh, qu'est ce que cette magie ?
Pour l'émotion ?
Que neni, l'émotion c'est un peu, beaucoup parfois, comme remuer les fonds vaseux, ça pue !
Non, la lumière n'est pas de ce niveau, la décantation a déjà eu lieu, il y a bien longtemps si bien qu'on l'a oubliée, je veux dire qu'elle n'a plus d'existence.

Lumière, clarté sans éblouissance
Profondeur sans noirceur
Infini, parce que...jamais fini
C'est ainsi que je t'aime
C'est ainsi que j'aime...

A perte de vue, les notes roulent, s'écoulent
Couleurs, vives, fraîches, inconfondables
Les notes s'ouvrent, et s'ourlent
A l'infini... jamais fini.

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