Impression de noyade
Même là où l'idée du manque se tait
Mais elle ne fait que se taire.
Tu comptais les jours, des jours comptés un à un
Le comptage apportant l'annonce de la délivrance
Quand le jeûne serait rompu
La bouche à nouveau emplie de douceurs, des épices.
Tu ne les comptes plus
Tu apprends la nourriture pranique
A moins que ce ne soit elle qui t'apprend.
Le régime vegan est-il un premier pas vers le respirianisme ?
RépondreSupprimerIl peut l'être mais ne l'est pas forcément en ce qui concerne la personne, de nombreux "Vegans" ne pensent absolument pas au respirianisme.
RépondreSupprimerPeut-être qu'au niveau de l'espèce c'est en effet un premier pas.
C'est un sujet qui est encore délicat à aborder, tant cela génère de résistances, de rejets, de colère. :)
Pourquoi la colère, car après tout ne se lance dans cette aventure que ceux qui le souhaitent !
RépondreSupprimerLa colère ? Le fait de ne plus manger et même ne plus boire, remet en cause tout ce que nous savons, tout ce que nous croyons, tout ce que la médecine affirme comme IMPOSSIBLE.
RépondreSupprimerJuste évoquer la chose et c'est le système tout entier qui se sent attaqué et réagit donc.
Alors ? Les fondements ne sont pas aussi solides qu'il y paraît et les lois dites naturelles pas aussi "vitales" qu'ils le prétendent.
Mais Miche,y-a-t-il besoin pour vivre de remettre en cause ce que les hommes ont toujours fait ? Ce qui appartient au bon sens que pour vivre il faut manger !
RépondreSupprimerPremière remarque il y a toujours eu des cas de personnes ne mangeant pas, on les a appelé des saints, on les a vénérés comme on le fit avec Jésus, histoire de ne pas s'intéresser à ce qu'ils montraient, et montrent encore de nos jours. En effet, de nombreux témoignages que l'on pourra toujours contester.
RépondreSupprimerC'est comme pour le fait de ne consommer aucun produit provenant des animaux, il y a des traditions notamment aux Indes où depuis des générations et des générations on pratique ce régime. Et les anti-vegan de dire que ce n'est pas possible, qu'il y a des manques si les enfants ne consomment pas de ces produits (lait, yaourt, viande...).
Donc premier point : ce n'est pas nouveau, sauf qu'avant cela concernait des castres, des personnes particulières, singulières, animées le plus souvent d'une foi intense.
Deuxième point : qu'est-ce que vivre ? Qu'est-ce que vivre dans ce monde que nous faisons ? Qu'est-ce que se nourrir dans cette société de consommation, de productions agroalimentaires, d'élevages intensifs, d'agricultures polluantes tant pour nos organismes que pour la terre ?
Je ne répondrais pas à cette question, c'est à chacun de le faire pour soi.
Voilà, il fait nuit depuis un moment ici, en ce solstice d'hiver.
Bonne fin de journée à toi Anna.