– Est-ce
que tu as pleuré ?
– Bien
sûr que j'ai pleuré, quelle question !
Quand
P. est mort, aussi j'ai pleuré
Pas
quand il est parti bien en avant de mourir
Non,
quand tout a été fini et que je me suis retrouvée
Comme
ça, les bras ballants, devant un tel désastre !
Parce
que vois-tu à chaque fois, c'est l'amour
La
graine de l'amour qui se trouve piétinée
Mais
… dans le même temps que les larmes pour le trop plein
En
même temps vraiment, concomitance
La
retrouver cette graine et la porter un peu plus loin
Comme
ça, qu'il n'est pas possible de faire autrement.
L'amour comme un refuge, comme prendre refuge pour les bouddhistes ?
RépondreSupprimerOhhh, je ne sais pas exactement ce que veux dire "prendre refuge" pour les bouddhistes, je ne suis pas bouddhiste.
RépondreSupprimerSi non ma réponse est NON, l'amour n'est vraiment pas un refuge, puisque sans cesse il oblige à se remettre en cause, puisque sans cesse il vous fait sortir de votre zone de sécurité, aimer c'est tout perdre, tout perdre vraiment...
Krishnamurti parlait de ce "feu" sans fumée, ni résidu... c'est vraiment la couleur de ce chemin...
Miche, ce que je voulais dire c'est qu'aimer est plus simple, plus facile que de haïr !
RépondreSupprimerPlus simple oui, l'amour est le grand principe simplificateur.
RépondreSupprimerPlus facile, non ! Aimer comme je l'entends ce n'est pas coller à ses appétits.
Bien à toi, Anna.
Je suis en harmonie avec ta première réponse à Anne et avec Krishnamurti. Une belle journée. ...
RépondreSupprimerOui, je comprends...
RépondreSupprimerBelle fin de journée à toi.
Vous êtes bien gentilles toutes les deux, Ariaga et Miche, mais l'amour pour se flageller, merci bien !!!
RépondreSupprimerohohollolo, Anna, c'est excellent ! Tu as bien raison!
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