Il
y a l'entraînement par la répétition, rendre habituel, cela qu'on
ne voit plus et puis il y a entraîner dans la pente glissante, et
l'on glisse sans s'en rendre, ou pire encore s'en rendre compte et ne
rien pouvoir faire, comme dans ces rêves où l'on voudrait crier et
rien ne sort de la bouche, où l'on voudrait courir, et le corps
immobile, où l'on voudrait... mais on ne peut rien qu'un refus
impuissant.
J'ai
dire « pire » ?
C'est
à affaire de goût parce que moi, je préfère VOIR
Et
au bout de VOIR, un grand lâcher prise, conscience claire du témoin.
Moi aussi, comme toi, je préfère voir.
RépondreSupprimerOui... Voir, sans jugement, ni justification, c'est quelque chose !
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