Le
tableau était petit
Mais
ce qu'on pouvait y voir
Et
encore qu'on ne voyait pas tout
Tellement,
tellement de choses !
C'était
comme une fenêtre ouverte
Et
qu'on ne se serait pas contenté
De
regarder à travers la vitre, mais
L'ayant
ouverte, sauter et marcher.
Le
chemin, un ruban se déployant
Devant
nous tout un monde vivant
Marcher
vers l'horizon jamais atteint
Le
chant des oiseaux, le clapotis de l'eau.
Un
enchantement en perpétuel renouvellement
A
l'infini, ce qui n'est jamais fini...
C'est très beau, Miche.
RépondreSupprimerJ'aime cet infini.
Il est en nous cet infini...
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