Celui-là voulait être blessant avec ses jugements
Mais
il croit en jésus !
Celui-là
se sentait fort et puissant
Ne
croyait-t-il pas en jésus ?
Pourquoi
diantre le jugement d'autrui
Devrait
me toucher ?
Cela
lui appartient, petit homme
Comme
son mépris
Il
ne voit pas que c'est son image
Que
lui renvoie le miroir.
En
aucune idée je m'arrête
Ni me frappe la poitrine
Ni la gonfler
Le
regard droit, ni qui se lève
Ni
qui se baisse.
Alors,
lorsque je vois celui-ci ou celle-là...
Regarde-le
l'homme à genou
Sous
quel poids ploie-t-il ainsi ?
Quel
est ce tout puissant devant lequel il s'incline ?
Il
n'y a pas plus grande arrogance qu'en celui qui croit
Qui
prétend détenir La Vérité, unique vérité de sa croyance.
Plus
je me trouve confrontée à cela en l'autre
Plus
la sidération grandit
Comment
cela fonctionne-t-il dans ces têtes ?
Oh
comme ils se prennent au sérieux !
Oh
tragédie des chaînes secouées
En
des ruelles obscures
A
l'amour ils opposent la haine
L'amour
étant leur propriété.
Les
temps sont durs pour celui qui ne voit pas !
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