Quand
tu viens à t’asseoir sous un arbre
Un
grand arbre majestueux dont la ramure
Communique
avec le ciel
Il
grandit encore de la paix en toi.
Et
si un oiseau vient à chanter
Un
oiseau que tu ne vois pas, si haut perché
Mais
son chant dans toute la canopée
Son
chant vient à vibrer en toi.
Personne
ne voudra te croire
Et
l'on te demandera :
Était-ce
bien toi ? Était-ce bien moi ?
Ton
rire comme mille grelots...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos commentaires