Deux
lignes, elles se croisent en un point
Puis chacune reprend sa course...
C'est
quelque chose de cet ordre-là
Alors
que le soleil monte
C'est
perceptible aussi dans la longueur du jour
Qui
rallonge, l'hiver est derrière nous.
Je
descends de la montagne dans cette perception
Du
soleil qui monte, des jours qui rallongent
L'hiver
est bien derrière nous.
La
voiture déroule les virages
Et
ce sont d'autres images, d'autres sensations
Qui
viennent dans le même instant.
La
fin de tous ces étés, l'arrivée de tous ces automnes
En
un jour radieux qui s'offre à la nuit, plus courts ces jours
Mais
tellement lumineux, les couleurs fauves des forêts.
Deux
lignes, deux hémisphères
Deux
âges, deux saisons
La
version des opposés, et là...
En
ce moment qui dure un peu, qui dure encore
Ces
deux lignes se croisent, en un seul point
Ce
point en mon esprit, c'est physique.
Richesse
absolue que rien ne peut confisquer
Cela défile à toute allure, et c'est bien
En
un seul point.
En ce point, tellement de lignes se croisent...
RépondreSupprimerOui, une infinité...
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