samedi 2 septembre 2017

Une histoire courte du spécisme

D'abord dans la nature, contrairement à ce qui est dit d'une manière tout à fait mensongère, dans la nature le prédateur ne gagne pas à tous les coups. L'animal qu'il guette, l'animal sur lequel il se jette, vivant, il est vivant, s'enfuit, lutte pour sa survie et souvent, encore, parvient à s'échapper. Ainsi il devient plus fort, et le prédateur aussi, c'est le vivant qui  en toutes circonstances est le grand gagnant.
Comment croyez-vous que cette belle nature, en tous ces écosystèmes, en cette si belle organisation, ait pu parvenir jusqu'à nous ?
Lorsqu'on se penche un peu, avec respect, afin de comprendre, Voir, ce tissu vivant, d'interconnexions complexes, on s'aperçoit que la nature a déjà répondu à toutes les questions qui se posent à nous. Mais voilà ! VOILA, nous avons oublié, nous avons méprisé, nous avons voulu nous faire maître, plutôt que d'être ce pourquoi nous sommes-là, le chaînon manquant, le chaînon participant, pour un monde non seulement sauvage et beau et efficace, mais aussi un monde toujours plus bienveillant, avec au cœur cette chaleur humaine tout à fait particulière, un monde où le partage se ferait dans l'union de la raison et du cœur.
Si le plan c'est pas ça, je rends mon tablier !

Mais revenons à ceci, il n'y a que l'homme dans le viseur de son fusil et ce n'était pas encore assez... il n'y a que l'éleveur confiant ses bêtes à l'abattoir qui fait mouche à tous les coups !
Il y a dans ce fait quelque chose d'irrationnel. Elle est prête à s’effondrer en son centre, cette dictature qui vise à ne plus avoir de contre pouvoir. L'animal, la nature, l'immigré, le sans logis, le pauvre, n'ont aucune chance de s'en sortir.




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