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jeudi 30 avril 2020

De l'égocentrisme au spécisme


La matière pensante est partout, en tout
Intrinsèque au vivant dans toutes ses formes connues et inconnues
Mais le penseur homme vit comme s'il était le détenteur
De cette matière, avant lui, après lui, c'est le néant.

Pour du centrage, c'est du centrage !
Et ça s'étouffe dans ce rétrécissement
Plus de communication possible.




Claude-may Waia Némia
Retraitée, Maître Reiki Kanak, Femme au Foyer, Méditation, Lecture, Jeux, Nouvelle-Calédonie, Nouméa, 1961 



samedi 2 septembre 2017

Une histoire courte du spécisme

D'abord dans la nature, contrairement à ce qui est dit d'une manière tout à fait mensongère, dans la nature le prédateur ne gagne pas à tous les coups. L'animal qu'il guette, l'animal sur lequel il se jette, vivant, il est vivant, s'enfuit, lutte pour sa survie et souvent, encore, parvient à s'échapper. Ainsi il devient plus fort, et le prédateur aussi, c'est le vivant qui  en toutes circonstances est le grand gagnant.
Comment croyez-vous que cette belle nature, en tous ces écosystèmes, en cette si belle organisation, ait pu parvenir jusqu'à nous ?
Lorsqu'on se penche un peu, avec respect, afin de comprendre, Voir, ce tissu vivant, d'interconnexions complexes, on s'aperçoit que la nature a déjà répondu à toutes les questions qui se posent à nous. Mais voilà ! VOILA, nous avons oublié, nous avons méprisé, nous avons voulu nous faire maître, plutôt que d'être ce pourquoi nous sommes-là, le chaînon manquant, le chaînon participant, pour un monde non seulement sauvage et beau et efficace, mais aussi un monde toujours plus bienveillant, avec au cœur cette chaleur humaine tout à fait particulière, un monde où le partage se ferait dans l'union de la raison et du cœur.
Si le plan c'est pas ça, je rends mon tablier !

Mais revenons à ceci, il n'y a que l'homme dans le viseur de son fusil et ce n'était pas encore assez... il n'y a que l'éleveur confiant ses bêtes à l'abattoir qui fait mouche à tous les coups !
Il y a dans ce fait quelque chose d'irrationnel. Elle est prête à s’effondrer en son centre, cette dictature qui vise à ne plus avoir de contre pouvoir. L'animal, la nature, l'immigré, le sans logis, le pauvre, n'ont aucune chance de s'en sortir.