Je
voulais me rassurer, me disant
Que
c'est toi, qui faisait ça en moi
Cela
te rendait c'est certain très important
Qu'as-tu
fait de cela ?
Parfois
c'était oui, mais aussi si souvent, Non
Alors j'avais peur de perdre le fil
Ce
fil de par le monde
Que
lorsqu'il vibre
On
ne saurait désespérer de rien
Que
tout est beau
Sauf
les nouvelles du monde
Qui
toujours sont mauvaises
Qu'un
coup c'est oui, et si souvent c'est Non.
Je
ne veux plus me rassurer
Je
ne veux plus avoir peur
Ni
retenir, ni résister
C'est là, en moi...
Et
toi ?
Labyrinthe de l'église San Vital, à Ravenne, Italie,
Ah oui, quelle drôle d'idée de penser qu'un autre pourrait agir en soi !
RépondreSupprimerEt pourquoi cela te rassurait-il ?
Ben voilà ! C'est ça ! Cela rejoint notre échange sur l'autre billet.
RépondreSupprimerCela me rassurait parce que ce qui se passait était très intense, troublant aussi, perçue par moi comme une force venue de l'extérieur, une force sans corps, sans visage...
Il me fallait une explication, non que celle-ci fut rationnelle mais elle c'était (pour moi alors) préférable à pas d'explication du tout.
Je ne comprends pas, uniquement une aventure solitaire ?
RépondreSupprimerAh non, rien n'existe en dehors de la relation, "au-delà de nos peurs et de nos attentes" ... est la relation...
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