Nous
avions grimpé la montagne
Versant
abrupte, nez collé à la roche
Des
pierres roulaient sous nos pas
Et
puis ce fut le sommet
Se
retourner.
En
bas, le lac si grand, si petit
Paysage
de jardin de poupées
En
des couleurs, tellement, tellement
Que
cela ne semblait pas vrai
Artificiel !
Certains
disaient qu'on était sous le coup
D'un
maléfice, ensorcelés, possédés
D'autres
se pâmaient, entonnaient des incantations
A
vous faire vomir de dégoût
S'éloigner !
Il
est toujours possible de faire ces quelques pas
En
dehors du groupe, échapper à l'influence
De
l'affluence, alors Voir
Ces
couleurs, cette lumière, si étranges
N'étaient
ni étrangères, ni familières.
Vivantes !
Ah oui, le vivant est effrayant pour les morts-vivants !
RépondreSupprimer:))))))
RépondreSupprimerC'est ça ! Veillons à ne pas être des morts-vivants !!!!