Avec
ces fêtes de fin et de début d'année nous pouvons Voir comment
fonctionne le conditionnement socio-culturel. Comment le consensus
impose des normes, des façons de faire, des manières d'entrer en
relation (ici cadeaux, nourritures, alcools, consommation à gogo) du
bruit beaucoup de bruit qui clame haut et fort : nous sommes
unis, nous sommes heureux, nous sommes forts, nous sommes les
maîtres du monde.
Que
celui qui sort du troupeau soit mis en exergue. À l'indexe. Soit
parce qu'il n'a pas les moyens de participer (pas de famille, pas
d'argent ) soit parce qu'il en décide et encore ose le dire. On
plaint celui qui ne peut pas, on lui tend la main, qu'il puisse au
moins un soir faire parti du troupeau (on appelle ça la fraternité).
Et l'autre celui qui par sa décision refuse de participer, on
l'exclut, on le juge, on le condamne, c'est un fauteur de trouble, un
cas social, c'est un danger ! Danger pour l'unité... familiale, nationale...
Mais si tu es
bien posé(e) en toi, ces critiques n'ont pour effet que de renforcer ta
détermination à reprendre « les rênes » de ta propre
relation au monde.
Et
puis...
Vous
rendez-vous compte ?
C'est un modèle unique, celui de l'occident, celui du catholicisme et de sa
très sainte église, celui du capitalisme avec ses sociétés
dédiées à la consommation, qui en impose à tous, dans le déni des
autres religions, des autres croyances, des autres sensibilités.
Et
puis...
Voilà qu'avec ces jeux, ces pétards, ces feux d'artifice, ces beuveries, ces repas, sacrifices de tant d'animaux, voilà la grande indifférence. Oubliée la situation humaine sur
cette planète, tout à fait catastrophique. Oubliées les violences, interventions policières, les armées, les bombes, les
empoisonnements massifs des populations, des pollutions, des
exterminations, des élevages intensifs.
Contents, ils sont contents...
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