Le vivant, meut le fleuve
Ici,
elle le fera creuser
Là,
elle l’oblige à se discipliner
Puis
le laisse atteindre la vaste plaine
Où
les animaux libres viennent s’abreuver
Au
bout du bout il lui faudra sauter
Par-dessus
le vide en cascades impétueuses
Vacarme
des enfers dans un spectacle si beau.
Le regard est imparfait qu’il ne voit qu’un aspect
L’eau
est la terre aussi, qui sous son effet, travaille
De
grottes profondes, de ravines et de gorges
Déplacements
incessants de matières
Jusqu’au
rivage, en ces plages de sable fin
L’eau
est l’air aussi, qui transporte inlassablement…
La
raison est imparfaite qu’elle ne peut dire
Que
des effets
Ce
qui n’est déjà plus.
Zambie
Hé oui... !!! la raison met à plat, dissèque... la pauvre grenouille !
RépondreSupprimerOhhh, oui c'est ça !!!
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