Il
y avait ce phénomène étrange, chaque matin à peu près à la même
heure, ce coup de vent violent, soudain, qui surgissait entre les
montagnes, s’emparant des bosquets et des longues branches des
filaos, s’engouffrant dans la maison, claquant la porte de la
chambre, celle là puisqu’elle était la seule.
Mais
là, cela durait, et peut être annonçait une journée vouée au
souffle des alizés.
Les phénomènes qui se répètent visent un but bien précis qui s'incarnent dans le monde visible.
RépondreSupprimerje le pense, j'ai pu également le vérifier...
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