En
ses secrets, sacrés
Toute
la nuit... aimer
Le
corps en un dialogue
Et
tellement de plaisir
Extase
infinie
Sans
cesse renouvelée
A
chaque étincelle
De
conscience.
Toute
la chambre et la maison
Baignant
dans ce chant ondique
Onde
carmine, feu sans fumée
Ni
résidu.
Flottement divin, mon amie... la source ne tarit jamais...
RépondreSupprimerNi elle ne tarit, ni elle ne tarit pas !
Supprimer:)))) Oui !!!! C'est ça !!!
SupprimerUne pensée pour toi et tes chants si beaux.
RépondreSupprimerMerci... belle fin de journée à toi, Ariaga
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