Ce funambule...

 

Suspension dans le vide
Funambule improbable
Qui avance sans fil
Dans la clarté du petit matin
Le sourire en bandoulière
Il vous traverse
Sans que vous le voyiez ... 

 

              Paul Signac

Ainsi soit-il ...

 

Ce que les oreilles n’entendent pas
Ce que les yeux ne voient pas
Que le corps chante doucement

  

 

De la plage, un soir

Laisser s'élever l'émotion

Du ventre, elle trace son chemin

Quand la vague se retire

Qu'il n'y a plus que le vide du vent

Des mots ?

 

Non, c'est ta voix qui psalmodie

Des sons sacrés

Lumière...

 

 

Déjà ici  

 

 

 

Angels voice

Quand les anges ont chanté

Par ta voix, ils ont chanté

Impossible de résister.

 

 

Déjà ici 

 

 

La racine touche le ciel

Ces vibrations, en moi
Laissent se murmurer
Cette réalité ultime
Paradoxe absolu
Qui est, qu’il n’y a rien de réel
Le rêve ne cesse de naître
Et de mourir.

Rire de la farce et avec sérieux
Faire ce qu'il y a à faire
A la façon de l'eau qui jaillit
Ruisselle les pentes en fleurissement
Avant de retrouver l'océan
Et le ciel infini.

Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?

 

Cela commence avec des mains sur les parois d'une grotte profonde
Et la gorge profonde, en le râle, en le chant
Les mains s'agitent dans le vide, et voici les cordes qui vibrent
Instruments de musique en tellement, tellement de possibles
Toujours plus de liberté et ce n'est pas que la liberté grandisse
Elle est ou elle n'est pas.

Comprends-tu ?

Ce n'était pas plus faux hier, et cela ne sera pas plus vrai demain
La justesse est pour l'accord à son propre instrument
Chaque instrument à son propre accord, unique.

 

De cercle en cercle

L'homme au bord de ses forces

L'ultime expérience

Où se révèle l'absolu.

Évidemment on ne vit pas

Toujours dans cette intensité

De soi à soi.

Cela entraîne une transformation

Qui ne manque pas d'avoir des effets

Qui demandent à s'incarner.

Le chant de l'érotisme

Pour autant ne quitte plus

Vagues en ressac.

Merci Anonyme 

Anonyme :
Comme il serait bon de ne pas en revenir !

Miche :
Ahhhh, vient ce moment de Voir que nous y sommes tout autant que nous n'y sommes pas !

Ce parfum unique

 
Il y a cet "effet" au-delà de la dualité
Où attirance et rejet se marient
Parfum unique, sensation découverte
Au creux de sa propre chair.
 
Il y a cette musique
De sable, de vent, d'eau
Qui fait l’arbre musicien
Par ses racines, par son tronc, par sa ramure.

Et ce n'est pas être perdu

 

Tu disais : celui qui marche vers nulle part …

Et ce n’est pas être perdu

Retrouver le sens du vivant

Ce n’est pas être ballotté par les événements
C’est habiter ici et maintenant, sans tension.

L’air vibre des chants des oiseaux
Du vent dans les bambous…
Les fibres du cœur, en communication
Déversent un flux d’énergie
Vaste, apaisant…

Le chant du monde

 

Comment ça joue dedans ?

- Ça joue !

Le chant quantique

 
Voir cette vision agir
La laisser dans la forme de l'instant
Que naturellement elle prend
Sans juger, ni justifier de cette forme, éphémère toujours.
 
Caresse du bout des doigts
Caresse à la pointe du cœur
Caresse invisible, mais Ô combien audible
Corps d'énergie où se révèle le chant quantique.

Merci kattelm
Tes mots bercent, Des Mots. Tes mots disent ce qui se fond, se défait, se refait. De la poésie à l'état très pur, si pur qu'il est délicat de la commenter... Te visiter c'est ici et ailleurs simultanément. C'est souvent pour moi  comme m’immerger dans une eau sacrée. Merci. 

Des Mots
Merci, Kattelm, de ce "retour" en lumière. J'aurai aimé trouver un autre mot que "retour" mais je n'en trouve pas, c'est bien plus que cela.
Tu parles-là du partage qui se fait au-delà de nos personnes mais pas sans elles.

Du chant de monde

 

A perte de vue, les notes roulent, s'écoulent
Couleurs, vives, fraîches, inconfondables
Les notes s'ouvrent, et s'ourlent
A l'infini... jamais fini.

Shawn Heinrich

Intimité en conscience

 

Une chaleur intime

Qui ne se cherche pas

Dans le regard de l'autre

Ni dans le contact physique

Peau de pensée

Contre peau de pensée.

Une chaleur intime

Vraiment

Un foyer vivant.

De la vibration

 

Tu viens de si loin
Où je ne me souviens pas
En une langue vivante...

Bolesaw Biegas (1877-1954)

Saut quantique

 

Processus de conditionnement et d'identification

Sont liés et participent de l'évolution du vivant.

Mais lors des grands changements, lorsqu'une plage

A été totalement explorée, et elle sera exploitée

Alors qu'un saut se réalise

Conditionnement et identification doivent céder.

Ça passe ou ça casse.

Déjà publié ici

Des touches

 

Je sais pas, qui chante ainsi

Qu'il n'y a pas de vis-à-vis

Je ne sais pas, juste que c'est tellement beau

Jour et nuit, sans différence.

Comme les E.T

Même pas peur que cela finisse

Sans fin, ni commencement

Sur des touches invisibles

Mais voilà qu'elles le sont !

Visibles.

Déjà publié ici

Merci 

Cosmique

 

Sur les bras grands ouverts

D'une ellipse inter-galactique

Je t'ai rencontré

Particule de conscience

Animée d'une volonté

Ton parfum

Je n'ai plus jamais oublié

Se perdre et se retrouver

Jusqu'à ce que cela soit

Un jeu

Préliminaires

Une extase, et tout recommence

En des calculs

Toujours plus

Savants.

Ici

Source

Sur ces notes

 

« Tu aimes ? »

Ah pour sûr, j'aime !

Et en moi, cela ne fait pas des idées.

Corps énergie

Ruissellement de notes

Cristallines

Onde

La caresse s'élève ...

Déjà publié ici

Naida Ginnane 

De la nature

 
Tout est question de vibration
De niveaux de vibration.

A ne pas confondre avec les niveaux établis par le mental
A l'origine de cette organisation sociale en pyramide.

Ainsi donc la question des niveaux de vibration
Les plus denses, désespérance, souffrance
Tout noué du dedans par la peur
Arrogances !

Les plus lumineux, tout en circulation
Joie paisible, danse du voile
Détachement, chant du monde
Ohhhhhhh, dissolution...

Anup Raj

Poussière d'étoile !

 

Les fibres du cœur

Amplifient, un massage

Message !

Ouverture/fermeture

Onde et particule.

Chaleur du rayonnement

Qui se diffuse.

Déjà publié ici

Camille Seaman