samedi 1 juin 2019

A l'aube, c'est toujours à l'aube...

Le jour se lève
Rien ne bouge jusqu'à la cime
Rien ne bouge
Alors que retentissent les cris
De tous les animaux captifs de ce village.

Les coqs, mais aussi une pintade, un cabri...
Et dans cette odeur si reconnaissable
L'eau qu'ils ont mis à bouillir
Les hurlements du cochon.


 
 
 

2 commentaires:

  1. Mon amie, l'ancien monde n'en finit pas de finir !
    Mais d'un coup le changement total !
    Bon weekend à toi.

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