La
couverture nuageuse enserre les tétons
Des montagnes chagrines
Dans
l’épaisseur de cette moiteur, le jour s'est levé.
On
aurait volontiers parié qu'il ne saurait le faire
Rien
ne semble pouvoir s’immiscer dans cet immobile
Et
pourtant...
Il
est là, gris, perlé, mercure
Il
pousse, comme naître par derrière
Ce
jour-là n'ouvrira qu'un œil.
J'aime les jours gris !
RépondreSupprimerJ'aime aussi les autres ! :)))))))))))
Oui, Mala... :)
SupprimerDa, această speranță ca o perlă
RépondreSupprimerîn ochii poeziei...
Frumos, Miche! Bravo!
O zi însorită, dragă poetă!
Infinie douceur vers toi...
SupprimerAmi poète, amoureux inconditionnel de la poésie !
Merci, Sem !