Tellement
absorbé il n'a pas entendu
La
feuille comme une voile claquer
Face
au vent venu de l'échancrure
D'un
horizon avalé par la cité.
Dans
un fracas tonitruant les bords de la feuille
S'animent,
se redressent, lui échappent
Une
coque, celle d'un puissant vaisseau
Interstellaire.
Un
instant il reste accroché à sa place à dessin
Tout
gris qu'il est...
L'instant
d'après dans un ciel immense il vogue
Suspendu
dans un espace qui n'est pas une place.
Participation à Mil et Une
Mereu absorbit gândurile și cuvintele tale...
RépondreSupprimerȘi orașul rămase suspendat pe nervura frunzei...
Ah, mereu îndrăgostit de penița stiloului tău...
Poeme frumoase!
O seară plăcută, Miche!
Așa citesc eu poeziile tale... :)
RépondreSupprimerFrumos și interesant, Miche! Mulțumesc!
Merci de me lire !!!
SupprimerMerci à toi Sem... dans tes mots et dans ton écoute.
Belle soirée, douce nuit...
<3