A
chaque fois que je me suis précipitée vers toi
Croyant
l’intention pure et justifiée
C’est
un mur que j'ai rencontré
Le
mien, bien avant le tien
Apprendre
à ses dépends toujours
Apprendre
la juste mesure
Celle
qu’on écoute se faire
Tout
est là !
C’est
si précis
Rien
ne peut franchir
Qui
ne soit dans cette affinité
Tout,
absolument tout
Participe
à ce travail d’orfèvre
Et
les doutes, et les peurs, et les cris
Et
la joie, et les sourires
Et
la main qui se crispe
Et
la main qui se tend
Et
la main qui se ferme
Même
les mots de trop.
Une
seule chose condamne
Abandonner
la partie
Comble
du laisser aller
Paroxysme
de l’ignorance.
Ne rien précipiter !!!! :))))))))
RépondreSupprimerEt pourtant, on se sera précipité !
Supprimer