Nous
savons que nous savons
Le
pli tendu, le pli tendre
En
l'un, en l'autre
Rien
ne nous échappe
Le
moindre frémissement
Et
la tempête aussi
Et
la fatigue
Puisqu'il
faudra mourir
Laisser
là, ce qui ne sait pas.
Déjà publié ici
Paul Klee
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