Je
le vois apparaître sous les pas pressés
Des empressements
Des mains qui ne cessent de chercher à saisir
Puis
fatiguées, les voilà qui pendent au bout de bras
Ballants.
La
même tristesse que celle dans les yeux des chiens errants
Qui
se couchent sur la chaussée attendant le repos de la mort
La
même rage que celle de ces fous rendus au bout de leur chaîne.
Un
pas de côté, et ce monde disparaît
Ce
n'est plus que beauté
Irradiante
beauté
Vous
y êtes déjà.
Holger Haspel
Dincolo de toate acestea... doar radiind în frumusețea cuvintelor tale.
RépondreSupprimerTu es un magicien Sem...
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