C'est, vois-tu petit chat
Que les chants humains parlent d'autre chose
Que ce qui te fait
Mais dont tu ne saurais jamais te séparer
Que conscience s'en fasse.
Il y a toujours un fond de tristesse
Les chants se souviennent de ce qu'il a fallu quitter
Non cela ne fut pas un choix, une marche qui s'imposa.
Ils parlent tout autant, de l'abandon
De la perte que de l'espoir
De ce qui dure que tu ne connais pas
Quelque chose vibre fort, dans les fibres du cœur
C'est un appel si puissant vers l'intime parfaitement étranger.
C'est une joie aussi
Qui étreint, une si grande intensité
A la limite du soutenable.
Et puis, en ces chants...
Oui, l'arrogance, méprise
Quand l'homme va en tellement de démesures
Tant d'atrocités et de souffrances !
C'est sûr tu es au-delà, toi
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