Alors, elle se dit qu’elle n’avait pas assez veillé
Qu’un court instant elle s’était absentée
L’air était si doux
Elle avait plongé dans l’onde claire
Écouté les oiseaux
Laissé le soleil caresser la peau
Et sur le chemin du retour…
Un pressentiment, puissant, terrassant
De ceux qui apportent les images
Qu’on tient loin de soi
Et qui pourtant surgissent là
Elle le vit s’enfoncer dans les marées
Elle poussa un cri
Qu’il n’entendit pas
A terre, elle tomba
Comme la vague
Qui claque la roche
Mais déjà elle était debout
Quoi qu’il puisse arriver
Quelques soient les apparences
Elle ne ferait pas, en sa tête
En son cœur
Le non sens, le sans réponse
Et ce n’est pas le vide
Qui répondait
Mais une présence si vaste
"Lorsque l'on s'aperçoit que la vie est toute insécurité, que la sécurité n'existe pas, l'insécurité disparaît également."
RépondreSupprimerLe yoga du Cachemire : https://www.paperblog.fr/9185093/yoga-du-cachemire/
Ha, oui !!!
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