La bataille est comprise dans vivre. Même un germe d'arbre bataille pour se faire sa place et contre les vents, etc. Les agitations sont mauvaises conseillères, vaut donc mieux qu'elles s'éloignent... et la bataille continue en restant le regard lucide, l'émotion revenue sur espace neutre, l'esprit calme et réactif...
La finitude (?) résonne comme l'équilibre parfait, la perfection atteinte. Tout cela est mort : non-mouvement, non-bataille, non-vie. :)
"Que l’être humain soit un être fini, c’est-à-dire éphémère, puisque son existence ne s’étend qu’entre les deux bornes que sont sa date de naissance et celle de sa mort, cela peut paraître au premier abord une évidence. Cette « finitude », que nous partageons d’ailleurs avec tous les vivants, ne va pourtant pas de soi, car nous vivons la plupart du temps dans l’oubli de notre propre mortalité. C’est ce qui conduisait Freud à affirmer que « personne, au fond, ne croit à sa propre mort ou, ce qui revient au même : dans l’inconscient, chacun de nous est persuadé de son immortalité »"
La question philosophique de la finitude Françoise Dastur
Comment entendre ces mots ?
RépondreSupprimerLa bataille est comprise dans vivre.
Même un germe d'arbre bataille pour se faire sa place et contre les vents, etc.
Les agitations sont mauvaises conseillères, vaut donc mieux qu'elles s'éloignent... et la bataille continue en restant le regard lucide, l'émotion revenue sur espace neutre, l'esprit calme et réactif...
La finitude (?) résonne comme l'équilibre parfait, la perfection atteinte. Tout cela est mort : non-mouvement, non-bataille, non-vie.
:)
Il n'y a tant de façons d'entendre... le principe de participation régit la nature.
Supprimer"Que l’être humain soit un être fini, c’est-à-dire éphémère, puisque son existence ne s’étend qu’entre les deux bornes que sont sa date de naissance et celle de sa mort, cela peut paraître au premier abord une évidence. Cette « finitude », que nous partageons d’ailleurs avec tous les vivants, ne va pourtant pas de soi, car nous vivons la plupart du temps dans l’oubli de notre propre mortalité. C’est ce qui conduisait Freud à affirmer que « personne, au fond, ne croit à sa propre mort ou, ce qui revient au même : dans l’inconscient, chacun de nous est persuadé de son immortalité »"
RépondreSupprimerLa question philosophique de la finitude
Françoise Dastur
https://www.cairn.info/revue-cahiers-de-gestalt-therapie-2009-1-page-7.htm#
Voir qu'il en est ainsi... naissance et mort est le Vivant.
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