Le juste mouvement des choses travaille dans les profondeurs
Et plus profond encore n'a jamais été perturbé par la mauvaise foi
Qui anime le penseur.
Ce pauvre fou qui se prend pour une entité séparée
Qui alors se trouve confronté à l'idée de sa mort
Et ne le supporte pas !
Tout
est là pourtant, au-delà
De ce conditionnement
Circulation d'énergie en tant de beauté.
Le penseur qui se prend pour une entité séparé vit dans un grand sentiment de solitude. Je pense que c'est lui (le penseur) qui a chargé ce mot de toute cette négativité qui fait pleurer dans les chaumières !
RépondreSupprimerJe suis d'accord. Dans la connexion à sa propre relation au monde il n'y a jamais de sentiment d'isolement, rien ne manque.
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