jeudi 3 décembre 2020

Ce cri... d'effroi "ne plus se reconnaître"

 

Ce qui se sépare n'a plus le choix

Voilà ! C'est ça !


Le penseur ne se reconnaît plus dans son objet

Illusion de l'isolement, de la dépendance

Cri d'effroi que la raison raisonne.



Foozine

4 commentaires:

  1. Là, naît le doute et encore le culte du doute...

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    1. Dans la séparation, oui ! Comment pourrait-il en être autrement ?
      Et les litanies sans fin des si "beaux" sentiments !

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  2. Et ceci :

    La peur ne peut exister que dans la relation ; la peur ne peut exister en soi, dans l’isolement.


    La peur abstraite, cela n’existe pas ; il y a la peur du connu ou de l’inconnu, la peur de ce que l’on a fait ou de ce que l’on pourrait faire ; la peur du passé ou de l’avenir. La relation entre ce que l’on est et ce que l’on voudrait être provoque la peur. La peur surgit lorsque l’on interprète le fait d’être ce que l’on est en termes de récompense et de châtiment. La peur vient avec la responsabilité et le désir d’en être délivré. Il y a de la peur dans le contraste entre la douleur et le plaisir. La peur existe dans le conflit des contraires. Le culte du succès engendre la crainte de l’échec. La peur est le processus de l’esprit qui fait l’effort pour devenir. En devenant bon, on a peur du mal ; en devenant parfait, on a peur de la solitude ; en devenant grand on a peur des petites choses. La comparaison n’est pas la compréhension ; c’est la peur de l’inconnu dans sa relation au connu qui l’inspire. La peur est l’insécurité en quête de sécurité.

    Krishnamurti

    https://www.krishnamurti-france.org/La-peur

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