Le masque est vécu tant comme une marque de musèlement qu’un objet fétiche irrationnel qui éloignerait un ennemi invisible…Nous avons des retours d’orthophonistes et de psychologues indiquant que les enfants ont tellement peur de se faire gronder ou encore de mourir s’ils le retirent, qu’ils sont désormais bloqués pour enlever le masque… La réalité est que les enfants ont un besoin important de voir le visage des personnes qui s’occupent d’eux : lire les visages, les expressions, les mimiques, ce qui se traduit par le jeu universel des grimaces (tirer la langue, etc.) ; la lecture du visage permet à la fois un apprentissage des émotions sur le visage de l’autre, et un apprentissage de ses propres fonctions nécessaires au langage et à la communication.]…
[De surcroît, sur un plan physiologique, l’on prive les enfants d’oxygène, ce qui aggrave tout ce que nous allons dire ensuite. Le port du masque en continu rend en effet la respiration difficile et accentue le ressenti d’angoisse[6]. Des médecins observent également une recrudescence de problèmes respiratoires de type bronchites asthmatiformes[7]. Le manque d’oxygénation du cerveau engendre des déficits de la concentration, de l’attention, de la mémoire, risquant de conduire davantage d’enfants en échecs scolaires, sans parler des répercussions sur leur immunité.]…
[Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire, résume ainsi la gravité de la situation : « A l’âge où ils apprennent les émotions, la lecture, l’expression orale et écrite, le mouvement, l’équilibre, ils se retrouvent dans les cours de récréation muselés, parqués dans des cercles ou des carrés délimités, cloisonnés en intérieurs avec étouffoirs devant des enseignants miroirs. Maltraitance ? Sans aucun doute. Restent dominants la peur, l’angoisse, le stress et l’immobilisme qui semble la nouvelle ligne éditorialiste de ce gouvernement pour instruire et épanouir nos enfants. »]…
[L’école n’est plus le lieu de l’apprentissage de la socialisation, mais celui de l’apprentissage de la distanciation sociale. Elle n’est plus le lieu du vivre-ensemble mais celui du marquage de la méfiance de tous contre tous. Le lien social est très attaqué : les proches deviennent de potentiels ennemis, nous nageons dans les paradoxes éducatifs…
Les modèles sont des adultes tristes et obéissants, rendus vulnérables par l’incertitude sur la situation économique (ce qui fragilise par ricochet les enfants). La politique sanitaire actuelle fragilise en outre la posture parentale auprès des enfants, mettant les parents en situation d’enfants devant obéir, ce qui entraîne tout à la fois une impuissance parentale et une perte de repères pour les enfants … Fin des extraits.
Quand aux hussards dégénérés du mondialisme sanitaire (les descendants des hussards à blouse de grand papa, pour lesquels je n’ai d’ailleurs jamais eu une nostalgie particulière vu le nombre de connards maniaques qui peuplaient leurs rangs), ils semblent globalement ne pas briller non plus par la gloire.
Déjà qu’on leur doit une bonne part des scores de Macron aux présidentielles -les “barrages” c’est leur truc on dirait. Ils semblent en plus vraiment prendre leur nouveau rôle de garde-chiourme à cœur, revanche sournoise sur cette autorité dont ils se sont laissés déposséder depuis un demi-siécle.
Voici par exemple le témoignage public d’une maman (de surcroît ancienne professeur de lettres classiques durant 16 ans) pour sa fille au collège, et qui reflète les témoignages que nous recevons ainsi que les déclarations des parents et des enfants en consultation :
« Les profs sont de plus en plus odieux, mis à part une minorité ; une prof a tout de même osé lui dire que ce n’était pas son masque qui l’empêchait de respirer, mais qu’elle “avait un problème au cerveau”, une autre l’a accusée d’être potentiellement responsable de la mort de sa famille, une autre prof saisit les copies avec une pince, pour les mettre en quarantaine dans un sac avant de les toucher…(…) L’infirmière du collège passe tous les 15 jours dans les classes pour rappeler aux élèves qu’ils peuvent tuer leurs grands-parents, et ne doivent pas faire de câlins en famille… »]
Jeunes gens, si une enseignante “charmante” vient à votre rencontre dans la rue, ne vous faites pas avoir. Changez de trottoir !
Le monde est si vaste !
RépondreSupprimerEt nous vivons dans une cour de récréation
Oui !
Et dans les cours de récréations
SupprimerOn a coupé le vieux platane
On a coulé du béton
Monté des murs si haut !
Oui !!
La phase ultime de désintégration
SupprimerLes masques et la chanson des gestes barrières ...
...
SupprimerLes enfants d'aujourd'hui en garderont des traces... que sera demain ?
RépondreSupprimerLa loi de cause à effet est sans pitié !
SupprimerIci : http://www.arianebilheran.com/post/impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-un-constat-clinique-alarmant
RépondreSupprimerExtraits :
Le masque est vécu tant comme une marque de musèlement qu’un objet fétiche irrationnel qui éloignerait un ennemi invisible…Nous avons des retours d’orthophonistes et de psychologues indiquant que les enfants ont tellement peur de se faire gronder ou encore de mourir s’ils le retirent, qu’ils sont désormais bloqués pour enlever le masque…
La réalité est que les enfants ont un besoin important de voir le visage des personnes qui s’occupent d’eux : lire les visages, les expressions, les mimiques, ce qui se traduit par le jeu universel des grimaces (tirer la langue, etc.) ; la lecture du visage permet à la fois un apprentissage des émotions sur le visage de l’autre, et un apprentissage de ses propres fonctions nécessaires au langage et à la communication.]…
[De surcroît, sur un plan physiologique, l’on prive les enfants d’oxygène, ce qui aggrave tout ce que nous allons dire ensuite. Le port du masque en continu rend en effet la respiration difficile et accentue le ressenti d’angoisse[6]. Des médecins observent également une recrudescence de problèmes respiratoires de type bronchites asthmatiformes[7]. Le manque d’oxygénation du cerveau engendre des déficits de la concentration, de l’attention, de la mémoire, risquant de conduire davantage d’enfants en échecs scolaires, sans parler des répercussions sur leur immunité.]…
[Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire, résume ainsi la gravité de la situation : « A l’âge où ils apprennent les émotions, la lecture, l’expression orale et écrite, le mouvement, l’équilibre, ils se retrouvent dans les cours de récréation muselés, parqués dans des cercles ou des carrés délimités, cloisonnés en intérieurs avec étouffoirs devant des enseignants miroirs. Maltraitance ? Sans aucun doute. Restent dominants la peur, l’angoisse, le stress et l’immobilisme qui semble la nouvelle ligne éditorialiste de ce gouvernement pour instruire et épanouir nos enfants. »]…
[L’école n’est plus le lieu de l’apprentissage de la socialisation, mais celui de l’apprentissage de la distanciation sociale. Elle n’est plus le lieu du vivre-ensemble mais celui du marquage de la méfiance de tous contre tous. Le lien social est très attaqué : les proches deviennent de potentiels ennemis, nous nageons dans les paradoxes éducatifs…
Les modèles sont des adultes tristes et obéissants, rendus vulnérables par l’incertitude sur la situation économique (ce qui fragilise par ricochet les enfants). La politique sanitaire actuelle fragilise en outre la posture parentale auprès des enfants, mettant les parents en situation d’enfants devant obéir, ce qui entraîne tout à la fois une impuissance parentale et une perte de repères pour les enfants …
Fin des extraits.
Quand aux hussards dégénérés du mondialisme sanitaire (les descendants des hussards à blouse de grand papa, pour lesquels je n’ai d’ailleurs jamais eu une nostalgie particulière vu le nombre de connards maniaques qui peuplaient leurs rangs), ils semblent globalement ne pas briller non plus par la gloire.
Déjà qu’on leur doit une bonne part des scores de Macron aux présidentielles -les “barrages” c’est leur truc on dirait.
Ils semblent en plus vraiment prendre leur nouveau rôle de garde-chiourme à cœur, revanche sournoise sur cette autorité dont ils se sont laissés déposséder depuis un demi-siécle.
Nouvel Extrait :
RépondreSupprimerVoici par exemple le témoignage public d’une maman (de surcroît ancienne professeur de lettres classiques durant 16 ans) pour sa fille au collège, et qui reflète les témoignages que nous recevons ainsi que les déclarations des parents et des enfants en consultation :
« Les profs sont de plus en plus odieux, mis à part une minorité ; une prof a tout de même osé lui dire que ce n’était pas son masque qui l’empêchait de respirer, mais qu’elle “avait un problème au cerveau”, une autre l’a accusée d’être potentiellement responsable de la mort de sa famille, une autre prof saisit les copies avec une pince, pour les mettre en quarantaine dans un sac avant de les toucher…(…) L’infirmière du collège passe tous les 15 jours dans les classes pour rappeler aux élèves qu’ils peuvent tuer leurs grands-parents, et ne doivent pas faire de câlins en famille… »]
Jeunes gens, si une enseignante “charmante” vient à votre rencontre dans la rue, ne vous faites pas avoir.
Changez de trottoir !
Voilà !!!! Merci pour ce partage, Ma chère Mala !
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