Tristesse...
Une passagère pour qui sait la recevoir
Elle entre, s’assoit un instant à vos côtés
Et brusquement vous constatez qu’elle est partie
Qu’a-t-elle laissé ?
Rien, elle ne laisse rien traîner derrière elle
Là, où elle est reçue
Elle a essuyé une larme que vous ne saviez pas
Elle a tenu la main, vous a tendu une fleur
On l’appela mélancolie.
Et voilà que …
Le monde a grandi là
A la manière du plus petit.
Alors, plus vivant encore
Vous vous levez, poussez la porte
Un premier matin du monde
Qui est aussi le dernier…
Sourire
Scintillant en perles d’eau
Éclaboussées de lumière.
Natasha Legeyda
« Mais les sirènes ont une arme plus terrible que leur chant : c’est leur silence. On peut imaginer […] que quelqu’un ait réchappé de leur chant ; de leur silence certainement non. »
RépondreSupprimerF. Kafka
https://youtu.be/CfGoJ2K4zSI
Bon dimanche Miche
Douce Mala, merci et bon dimanche à toi aussi.
SupprimerPour toi :
https://youtu.be/tQb4eWCAq8c
Accueil de l'émotion (tristesse), d'un état "passager" (mélancolie) :
RépondreSupprimerc'est ça aussi vivre ; et, parfois, la larme salée laisse douceur.
(Bôoooo)
:)) Merci Eric
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