Les
cités ont été construites les unes sur les autres
Les
vents ensevelissent les vestiges sous le sable
On
en vient à douter qu'elles ont existé
Restent
les masques mortuaires.
Le
rêveur n'a rien oublié
Par
bribe il souffle les images
De
temps qui ont forgé ceux d'aujourd'hui
Visions
si claires
Où
l'esprit se meut en tant de légèreté.
Il
traverse les champs de bataille, les temples
Et
même ces paysages cristallins où l'homme
N'était
pas encore.
Connaissance,
cela est connaissance
Tellement
silencieuse.
Loin, loin, là-bas qui est ici !
RépondreSupprimer... oui !
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