En
toi, rien ne me sépare de la beauté du monde sauvage
En
toi, si vivant, si vrai, authentique
J'écoute
la marche paisible des éléphants
La
sagesse de la matriarche qui s'impatiente
Devant
l'inexpérience de la jeune mère
Tire
l'éléphanteau du mauvais pas.
Les
nuages envahissent la montagne
C'est
mon ami le dos argenté
Qui
prend soin de l'orphelin.
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