Ah,
si vous pouviez Voir
Combien
cet attachement au monde des formes
Qui
vous fait jusqu'au masque mortuaire
Dure
comme cette table
Qu'une
pierre ce n'est pas vivant !
Si
vous pouviez voir
Combien
la pierre est vivante !
Vous
accueilleriez la mort comme la naissance
Un
passage, une traversée.
Ce n'est pas mourir qui est triste
Ce qui l'est c'est toute cette souffrance surajoutée
Quand l'esprit meurtri par le refus
Comme une bête aux abois
"Il faut que quelqu'un paye !"
Attachement au connu !
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