Se
dédouanant en sa si grande arrogance
Elle pérorait : « si on a le choix ! »
Pensant si fort : « on n'a pas le choix ! »
Elle pérorait : « si on a le choix ! »
Pensant si fort : « on n'a pas le choix ! »
La voix, blanche venue de nulle part
Tranche alors dans le mensonge et l’hypocrisie
« Si c'est un choix »
«Je ne suis pas ce qui m’est arrivé, je suis ce que je choisis de devenir.»
RépondreSupprimerCarl Gustav Jung
oui !
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