Se
nourrir...
Ce n'est pas seulement une question d'aliments à porter à
sa bouche, et pourtant...
La voisine me parle de son cholestérol,
elle revient de chez le médecin: « Je lui ai dit, je ne
grignote pas entre les repas ! Mais ça je fais trois repas ! »
et de rajouter que si on n'a plus ça !
L'homme
a développé tout un art culinaire, un raffinement dans la
préparation des mets, quelque chose d'incroyable... de couleurs, de
parfums, de goûts, de formes, de textures, et...
L'idée de produire
du foie gras, de manger le petit de la vache, les petits les manger,
les élever (dans des conditions !) et les manger, tuer le cochon en le saignant à vif pour
bien recueillir tout son sang, et la souffrance de tous ces animaux.
Et maintenant la chimie, l'agroalimentaire, aliments générant des
dépendances, des aliments porteurs de poisons, manipulateurs.
Anonyme :
L'homme
se console avec la nourriture. Plus grande est la sophistication des
mets, plus grande est la consolation.
- C'est juste, et de quoi se console-t-il ainsi ?
Anonyme :
Nous
pourrions laisser cette question ouverte, et chacun alors se la
posant lui trouverait une réponse.
Ce n'est pas de ce genre de
consolation dont il s'agit ici.
L'arrogance humaine est presque
sans limite, de quoi l'homme pourrait-il avoir à se consoler ?
- Rire, et pourtant il ne cesse de se consoler.
Hieronymus Francken, Les Gras et les
Maigres,
Poussins mâles à peine sortis de l'oeuf aussitôt broyés à vif pour privilégier les futures poules pondeuses, élevages de visons y compris en France qui au dire de certains virologues ont contribué à developper des variants du virus à couronne à forme plus grave pour l'homme et dont partie a été abattue, partie s'est retrouvé à l'état libre dans la nature batifolant autour des déchets des abattoirs et risquant à nouveau de provoquer un grave problème sanitaire un jour ou l'autre, grippe aviaire qui force à tuer tout l'élevage, maladies du porc dont le charbon, branlante du mouton, vache folle qui perdure même si ce n'est plus à la une des médias...la liste est tellement interminable qu'on se demande pourquoi il n'y a pas plus de vegans, en effet manger à ce prix- là ce n'est pas une consolation mais une désolation...
RépondreSupprimerOui, Jacqueline la liste est longue des cruautés, des dysfonctionnements, quelle inconscience !
SupprimerJe pense que l'homme est invité par le vivant à un saut d'évolution, comme celui de ne plus se nourrir de la souffrance et des animaux, et des plantes aussi !
RépondreSupprimerAu bout du chemin, la nourriture pranique.
http://chou-genou-caillou.blogspot.com/2017/06/changement-profond-revolution.html
Changement profond, révolution
Des premiers jours de jeûne
Impression de noyade
Même là où l'idée du manque se tait
Mais elle ne fait que se taire.
Tu comptais les jours, des jours comptés un à un
Le comptage apportant l'annonce de la délivrance
Quand le jeûne serait rompu
La bouche à nouveau emplie de douceurs, des épices.
Tu ne les comptes plus
Tu apprends la nourriture pranique
A moins que ce ne soit elle qui t'apprend.
Oui, nous sommes invités à ce changement radical!
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