L’amitié offre en partage, tant de mets délicats
Parfois, pure évanescence, ombre chinoise
Doux reproches d’incompréhensions
Tenues Secrètes.
Impossible de savoir ce qui se trame là
Du vent, rien que du vent
Le laisser passer, cela passe toujours
Rien ne saurait être séparé véritablement.
Chante mon bel oiseau au fond de ton bois
Même silencieux, moi, je t’entends toujours.
Il chante !
RépondreSupprimerOui !
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